John Barleycorn must die / Traffic, ens. voc. et instr.

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Traffic, ens. voc. et instr.

Edité par Island , 2011

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Type de document
Disque compact
Langues
anglais
Description physique
1 disque(s) compact(s) : digipack; 12 cm. 1 livret
Date de publication
2011
Collection
Les 1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie
Série
Les 1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie
Auteurs
Traffic. Interprète
Cote
2 TRA 20
Fonds
Adulte
Classification
Rock, rap, variété internationale
Genre musical
Rock progressif
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Biographie

homonymie Trafic wiktionary = traffic Le nom anglais traffic, emprunté au français trafic et au vénitien , désigne la circulation de véhicules ou de piétons, ou de données sur un réseau informatique. Ce sens a été repris par le mot français. Il peut désigner : * Traffic, un film américain de Steven Soderbergh ; * Traffic, une mini-série de Stephen Hopkins, qui fait suite au film de Soderbergh ; * Traffic, un groupe de rock, avec Steve Winwood, Jim Capaldi, Chris Wood, et Dave Mason ; **Traffic, un album du groupe éponyme ; * Traffic, un jeu vidéo pour Amstrad CPC ; * Traffic, une chanson de Bernard Lavilliers ; * Traffic, un single du DJ néerlandais Tiësto ; * TRAFFIC, un groupe de parties prenantes, initié par le WWF et luttant contre le trafic de certains animaux et végétaux menacés ; * Traffic, le nom de deux transbordeurs de la White Star Line : ** Le Traffic (I) en service de 1873 à 1955 ; ** Le Traffic (II) en service de 1911 à 1941. Voir aussi Human Traffic, un film de Justin Kerrigan (1999).

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Biographie

Traffic est un groupe de rock britannique. Membres fondateurs du groupe [modifier] Steve Winwood - chant, claviers, guitare, etc (né en 1948) Jim Capaldi - batterie, percussions, chant, etc (1944/2005) Chris Wood - flûte, saxophone, basse, etc (1944/1983) Dave Mason - chant, guitare, etc (1946) Histoire [modifier] Steve Winwood a formé Traffic au printemps 1967, sabordant par la même occasion le Spencer Davis Group original alors en pleine gloire (Gimme some loving était en haut des charts). Mais Stevie jouait assidûment depuis quelque temps déjà avec des copains de la région de Birmingham : Jim Capaldi (batteur), Chris Wood (flûtiste et saxophoniste) et Dave Mason (guitariste chanteur) et il pensait qu'il était temps de passer à un autre niveau de création. Leur 1er single fut le très psychédélique Paper Sun en mai 1967, et enfin arriva à la fin de l'année l'album tant attendu concocté dans leur fameux cottage du Berkshire et qui s'intitulait Mr. Fantasy, d'après le morceau qui le termine (Dear Mr Fantasy). L'ensemble de ce premier album naviguait entre pop psychedelique, rock, blues et jazz et cela donnait au groupe un son absolument unique. Sur des musiques le plus souvent de Winwood (plus Wood parfois), Capaldi avait généralement le rôle de parolier. Sauf pour les morceaux de Dave Mason qui se distinguaient d'ailleurs par un aspect plus "chanson". Cette singularité de Dave et son intégration un peu marginale, allaient le faire quitter le groupe dès la fin 67, puis revenir, puis repartir, etc. Le manager de Traffic était Chris Blackwell, fondateur du label Island et grand propagateur du reggae, qui connaissait Winwood depuis l'époque du Spencer Davis Group. De même pour le producteur de leurs deux premiers albums nommé Jimmy Miller, et qui s'illustra ensuite avec les Rolling Stones (production de leur Beggars Banquet) En octobre 1968 arrivait le 2e album, nommé simplement 'Traffic, dans le même esprit et tout aussi passionnant que le 1er, et avec d'autres perles grandioses comme "Pearly Queen", "40.000 Headmen" ou le plus léger et chantant "Feelin' Alright" de Mason. Cela n'empêcha pas le groupe de spliter une première fois à la fin de l'année, car Stevie avait ce vieux projet avec son ami Eric Clapton d'un groupe qui allait finalement s'intituler Blind Faith et se révéler bien difficile à vivre. La parution suivante de Traffic Last Exit fut donc un album posthume et à demi live. Après Blind Faith, puis Airforce de Ginger Baker, Steve Winwood travaillait donc à un album solo quand son frère Muff révéla à la presse que Jim et Chris l'aidaient à terminer celui-ci. Traffic allait donc renaître de ses cendres en 1970 (et pour un opus solo de Winwood il faudrait attendre 1977) avec ce nouvel album au mois de Juillet John Barleycorn must die. Un album plus folk, à l'instar de la très belle chanson (exhumée du folklore britannique) qui lui donne son nom. Assez vite, Steve souhaita élargir le nouveau groupe, alors arrivèrent successivement Ric Grech (bassiste, ex-Family et transfuge de Blind Faith aussi), puis Rebop Kwaku Baah (percussionniste ghanéen qui joua ensuite avec Can), et Dave Mason de retour des USA reprit une fois de plus "sa place". Jim Gordon (batteur californien) s'installa derrière les fûts parce que Jim Capaldi souhaitait devenir percussionniste et chanteur. Un album live fut enregistré cette année-là, nommé par leurs sept noms ajoutés (et sans celui de Traffic, mais on trouvait quand même le fameux logo). Il s'appelle Welcome to the Canteen, et reste un de leurs albums les plus populaires. Le vrai nouveau disque, qui allait sortir fin 1971 allait se révéler plus novateur, c'est The low spark of high-heeled boys, avec sa pochette découpée en un effet cube très design par l'artiste Tony Wright. Exit Dave Mason, il restait donc 6 membres et les morceaux non chantés par Steve l'étaient par Jim (Light up or leave me alone) ou même par Ric Grech (Rock'n'Roll Stew). Jim Capaldi, apparemment de plus en plus séduit par le rôle de chanteur, allait bientôt partir au fameux studio américain de Muscle Shoals (Alabama) pour y enregistrer son 1er album solo. Steve et Chris furent bien sûr invités à y participer (parmi d'autres comme Paul Kossoff ou Mike Kellie). Et c'est ainsi que Winwood fut séduit par la rythmique implacable mais funky des fameux requins de studio oeuvrant là-bas. Et si le Traffic de 1972 comportait toujours 6 membres, la rythmique Grech-Gordon avait été remplacée par celle de David Hood (basse) plus Roger Hawkins (drums). Avec le trio fondateur et Rebop toujours là bien sûr. Ce fut donc le line-up pour un 2e album avec pochette d'apparence cubique, le plus musclé Shoot out at the Fantasy Factory. Comme dans le précédent, de longs thèmes y étaient développés dans des atmosphères plutôt jazzy, et Steve y faisait encore preuve d'une grande maestria, notamment de guitariste (sa qualité la plus méconnue). Quelques mois plus tard arrivait un nouveau disque On the road, donc live cette fois, enregistré sur la tournée européenne avec la même équipe, assortie du pianiste Barry Beckett (de Muscle Shoals forcément), ce qui permettait à Winwood de s'exprimer encore plus librement. Les morceaux, surtout tirés des deux précédents albums "cubiques" atteignent des durées encore plus longues (18 mn pour The Low Spark). Puis l'ultime vrai album de Traffic fut en 1974 le quelque peu déroutant When the Eagle flies. Changement de direction encore et retour à un quartet : le trio de base Winwood-Wood-Capaldi augmenté du bassiste jamaïcain Rosko Gee. Bien moins de brillantes improvisations, mais un disque peut-être plus tourné vers l'intérieur, avec une réflexion philosophico-écologique sur le devenir de notre planète face aux outrages subis par Mère Nature. Album plus spirituel donc, avec pour le son un grand rôle aux claviers/synthé laissant en partie augurer de la suite de la carrière de Steve. Ajoutons que la réunion de Winwood et Capaldi en 1994 allait donner lieu à un nouvel album sous le nom de Traffic, intitulé Far from Home. Et un tout nouvel album The Last Great Traffic Jam a paru fin 2005, avec du live cette fois de cette même année 1994 (dont un "Dear Mr Fantasy" avec Jerry Garcia de feu-Grateful Dead). Il s'agit d'ailleurs d'un "dual disc" dont la partie vidéo consiste en une interview de Steve et Jim, filmée à l'époque de l'entrée de Traffic au Rock'n'Roll Hall of Fame (en Mars 2004). Donc une sorte d'ultime hommage à Jim Capaldi, disparu en Janvier 2005. Rappelons que Chris Wood était mort en 1983, et Rebop l'année d'avant. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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