Lolita : B.O.F. / Nelson Riddle, comp.

Musique audio

Nelson Riddle, comp. ; Stanley Kubrick, réal.

Edité par Turner , 1990

Type de document
Disque compact
Description physique
1 disque(s) compact(s) (48 min 28 s); 12 cm. 1 livret
Date de publication
1990
Auteurs
Riddle, Nelson. Compositeur
Kubrick, Stanley (1928-1999). Réalisateur
Cote
520 LOL
Fonds
Adulte
Classification
Musiques de films
Genre musical
Bande originale de film

1 exemplaire disponible

Plus d'infos

Consulter en ligne

Se procurer le document

Pour réserver un document connectez-vous à votre compte.

Musique audio - 1990 - Lolita : B.O.F. / Nelson Riddle, comp.

MLIS Discothèque/Vidéothèque Adultes | 520 LOL | Disque compact | En rayon En réserve

Suggestions

Du même auteur

Les Incorruptibles - The Untouchables / Nelso...

Riddle, Nelson. Compositeur | Extrait de musique audio

Appartient à
Greatest TV themes of the 50s & 60s (The) ; John Barry, Al Caiola, Max Harris... [et al.], comp.

That's entertainment, part 2 : Fred Astaire -...

Riddle, Nelson. Comp. & dir. | Musique audio | MGM | 1987

Ouverture - That's entertainment - For me and my gal...

En savoir plus

Biographie

Salvatore Sciarrino est un compositeur et interprète italien, né le 4 avril 1947 à Palerme.

Ecouter l'album sur Deezer

Biographie

Compositeur italien né le 4 avril 1947 à Palerme. Biographie: Originaire de Sicile, Salvatore Sciarrino étudie les arts visuels avant de se consacrer à la musique. Il se forme essentiellement en autodidacte, directement sur les œuvres des compositeurs anciens et modernes, même s’il bénéficie de contacts importants, en particulier avec Antonio Titone et Turi Belfiore. Sa première création publique a lieu en 1962. Il complète ses études à Rome et à Milan et s’initie à la musique électronique avec Franco Evangelisti, qu’il considère avec Stockhausen comme l’un de ses « pères » artistiques. Il enseigne ensuite la composition aux conservatoires de Milan, Pérouse et Florence, dirige des master classes. Il reçoit de nombreux prix, dont le prix de la Société Internationale de Musique contemporaine (1971 et 1974), le prix Dallapiccola (1974), celui de l’Anno discografico (1979), le Psacaropoulos (1983), le prix Abbiati (1983), le Premio Italia (1984), et à trente ans, il est nommé directeur artistique du théâtre communal de Bologne, fonction qu’il assume de 1978 à 1980. En 1982, il se retire dans la petite ville d’Ombrie Città di Castello pour se consacrer à la composition, autant que lui permette son importante activité de pédagogue. Bien qu’affirmant sa filiation avec des avant-gardistes, Stockhausen en particulier, Salvatore Sciarrino revendique le fait de situer son travail dans une continuité avec l’histoire. Son très important catalogue - sans doute le plus vaste des compositeurs d’aujourd’hui - ne présente pas de rupture mais une évolution vers une nouvelle conception de la musique parfois désignée comme « écologie » de l’écoute et du son. On parle dès ses débuts dans les années 60 d’un « son Sciarrino ». Sa musique est intimiste, concentrée et raffinée, construite sur des principes de microvariations de structures sonores constituées de timbres recherchés et de souffle. Il prône un monde sonore transparent, raréfié et proche du silence, ou du « son zéro » qui pour le compositeur est déjà musique, un monde fait d’une multitude de sons microscopiques, d’un flot continu de bruits infimes, un monde sonore réduit à l’essentiel. Les titres de ses œuvres sont éloquents : Esplorazione del bianco (1986), Cantare con silenzio (1999). De la même façon, la dramaturgie est inhérente à la musique dans l’action invisible Lohengrin (1984) où, par un procédé synesthésique, la perversion du mythe chez Jules Laforgue, l’auteur du texte, se traduit chez Sciarrino par la dénaturalisation du timbre. Le compositeur organise ses œuvres comme on trace les lignes d’un dessin, utilise des techniques d’estompage du son, de fusion des couleurs, de jeux de lumière dans le modelage du timbre : un univers proche des arts plastiques dont Morte di Borromini (1988), Omaggio a Burri (1995) font l’éloge. Dans le catalogue de Sciarrino, la voix occupe une place majeure, des expériences sur l’émission vocale de Lohengrin aux œuvres plus récentes dont l’écriture est plus centrée sur une continuité mélodique liée à la psychologie des personnages : Luci mie traditrici (1998), Macbeth (2002), et surtout Infinito nero (1998), sur les visions mystiques de Maria Maddalena dei Pazzi. © Ircam - Centre Pompidou, 2007. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

Artistes similaires