Je veux être noir. si tu m'aimes encore. la bande à Ferrer... [etc.] / Nino Ferrer, chant

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Nino Ferrer, chant

Edité par Barclay ; Polygram (distrib.) , 1998

Type de document
Disque compact
Langues
français
Description physique
1 d. c. (36 min 52 s); 12 cm
Date de publication
1998
Auteurs
Ferrer, Nino (1934-1998). Interprète
Cote
0 99.7 FER
Fonds
Adulte
Classification
Chansons francophones, rock francophone
Note
  • Enr. public
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Biographie

Matoub {{infobox biographie2 | image = MATOUB Lounès.jpg | légende = Lounès Matoub, peinture murale sur la façade de sa maison transformée en musée (Taourirt Moussa). | charte = chanteur | surnom = Le Rebelle | site web = https://www.matoub-lounes-eternel.com/ }} Lounès Matoub (en kabyle : Lwennas Meɛṭub, en tifinagh : ⵍⵡⵏⵏⴰⵙ ⵎⵄⵟⵓⴱ), communément appelé Matoub Lounès, né le 24 janvier 1956 à Taourirt Moussa, Aït Douala (Kabylie), en Algérie, mort assassiné le 25 juin 1998 à Thala Bounane, est un chanteur, musicien, auteur-compositeur-interprète et poète algérien d'expression kabyle. Il a été militant de la cause identitaire berbère en Algérie et a apporté sa contribution à la revendication et la popularisation de la culture amazigh et au combat pour la démocratie ainsi que pour la laïcité en Algérie. Il est reconnu comme une grande figure de la chanson kabyle sur tout le territoire amazigh. Il demeure un symbole de la Kabylie. Depuis la sortie de son premier album A Yizem anda tellid ? (Ô lion où es-tu ?) Lounès Matoub célèbre les combattants de l'indépendance et fustige les dirigeants de l'Algérie auxquels il reproche d'avoir usurpé le pouvoir et de brider la liberté d'expression, Lounès Matoub est grièvement blessé par un gendarme en octobre 1988. Il raconte sa longue convalescence dans l'album L'Ironie du sort (1989). Opposé au terrorisme islamiste, Lounès Matoub condamne l'assassinat d'intellectuels. Il est enlevé le 25 septembre 1994 par un groupe armé, puis libéré au terme d'une forte mobilisation de l'opinion kabyle,. La même année, il publie un ouvrage autobiographique Rebelle et reçoit le Prix de la Mémoire des mains de Danielle Mitterrand. En 1995, il participe à la « marche des rameaux » en Italie pour l'abolition de la peine de mort, alors qu'en mars 1995, le Ski Club international des journalistes (Canada) lui remet le Prix de la liberté d'expression. Le 25 juin 1998, il est assassiné sur la route menant de Tizi Ouzou à Ath Douala, au lieu-dit Thala Bounane dans la commune de Beni Aïssi, à quelques kilomètres de son village natal. Les conditions de ce meurtre n'ont jamais été élucidées. Les funérailles du chanteur drainèrent des centaines de milliers de personnes et la Kabylie a connu plusieurs semaines d'émeutes et de deuil. Son dernier album Lettre ouverte aux…, paru quelques semaines après son assassinat, contient une parodie de l'hymne national algérien dans laquelle il dénonce le pouvoir en place.

Biographie

Lounès Matoub est né le 24 janvier 1956 à Taourirt Moussa Ouamar, un village de la tribu et actuelle commune Ait Mahmoud dans la daira de Ath Douala dans la wilaya de Tizi-Ouzou (à l'époque intégré a l'Algérie française). Il meurt le 25 juin 1998, assassiné sur la route qui relie Tizi-Ouzou et son village au lieu-dit Taberquqt à Ait Aïssi. La vie de Lounès était très agitée, il a vécu des moments tragiques qui ont marqué sa carrière d'artiste. Sa carrière artistique était indissociable de son combat politique. Depuis la sortie de son premier album A Yizem anda tellid ? (Ô lion où es-tu ?) Lounès Matoub célèbre les combattants de l'indépendance et fustige les dirigeants de l'Algérie auxquels il reproche d'avoir usurpé le pouvoir et de brider la liberté d'expression. Chef de file du combat pour la reconnaissance de la langue berbère, Lounès Matoub est grièvement blessé par un gendarme en octobre 1988. Il raconte sa longue convalescence dans l'album L'Ironie du sort (1989). Violemment opposé au terrorisme islamiste, Lounès Matoub condamne l'assassinat d'intellectuels. Il fut cependant enlevé le 25 septembre 1994 par un groupe armé, puis libéré au terme d'une forte mobilisation de l'opinion kabyle. La même année, il publie un ouvrage autobiographique Le Rebelle et reçoit le Prix de la mémoire des mains de Danielle Mitterrand. En 1995, Lounès Matoub participe à la marche des rameaux en Italie pour l'abolition de la peine de mort, alors qu'en mars 1995, le S.C.I.J. (Canada) lui remet Le Prix de la Liberté d'expression. Le 25 juin 1998, Lounès Matoub fut assassiné sur la route menant de Tizi-Ouzou à Ath Douala en Kabylie (Algérie) à quelques kilomètres de son village natal. Les conditions de ce meurtre n'ont jamais été élucidées. Les funérailles du chanteur drainèrent des centaines de milliers de personnes et la Kabylie a connu plusieurs semaines d'émeutes et de deuil. Son dernier album Lettre ouverte aux..., paru quelques semaines après son assassinat, contient une parodie de l'hymne national algérien dans laquelle il dénonce le pouvoir en place. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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