Wu-Tang forever / Wu-Tang Clan, ens. voc. & instr.

Musique audio

Wu-Tang Clan, ens. voc. & instr.

Edité par Loud , 1997

Type de document
Disque compact
Description physique
2 C-D (46, 78mn) + LIVRET
Date de publication
1997
Auteurs
Wu-Tang Clan. Interprète
Cote
2 WUT 95
Fonds
Adulte
Classification
Rock, rap, variété internationale
Genre musical
Rap
Note
  • C-D extra : partie audio et partie C-D ROM

1 exemplaire disponible

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Biographie

Je ne vous fais pas un dessin: Highvisators, c'est la réunion de High Tone et de Improvisators Dub. Facile. Pas besoin d'être grand clerc, hein. Pour autant, vous l'aurez noté, nous avons choisi de leur ouvrir une page à part entière plutôt que d'évoquer cet album sur la page consacrée à High Tone et/ou sur celle qui ne devrait plus tarder à l'être à Improvisators Dub. Et il ne s'agit pas (uniquement) de diplomatie. Il s'agit surtout d'indiquer que la rencontre est une telle réussite qu'on ne peut voir le résultat que comme un groupe à part entière, dont ce premier album est la très excellente surprise du mois d'avril 2004-2007. Car enfin, que les sceptiques se rassurent: il ne s'agit décidément pas d'une de ces innombrables collaborations de façade, motivée, voire réalisée, par je ne sais quel service marketing (Jarring Effects? Marketing? Allons.), et encore moins d'un de ces albums de remixs que l'honnête homme ne peut décemment plus encadrer. Non: il s'agit de deux pointures de la scène dub française, des vrais musiciens, avec des vrais doigts, réunis en studio durant 4 jours, et qui se paient, et nous offrent, le luxe d'en sortir 9 titres là où 4 étaient initialement prévus. Et 9 titres parfaitement justifiés tant les registres auxquels ils empruntent sont variés. Pas une seconde de remplissage, pas une redite, et le tout interprété avec une efficacité et une cohérence telles qu'on croirait que tout ce petit monde répète de concert (pun intended, un peu d'indulgence, merci) depuis des lustres. On retrouve la solidité rythmique inébranlable de High Tone, leur talent à intégrer samples, éléctronique, et effets en tout genre à un son qui reste pourtant live, ainsi que leur goût pour les instruments "exotiques", qui trouve un large écho chez Improvisators Dub. Ces derniers apportent bien entendu une influence stepper, une belle libéralité sur les saxophones, flûtes, et autres mélodicas, et ne sont certainement pas en reste sur les appareils à boutons, notamment pour donner au son une franche teinte techno sur la fin. Alors évidemment, ça fait beaucoup, mais je vous prie de croire que tout ça est parfaitement mêlé, intégré, réuni. Fusion. Symbiose. Tout ça. Pas une compilation, pas un split album: c'est un nouveau groupe, on vous dit. Parmi les très riches heures de l'album, on ne pourra pas décemment passer à côté de "Pusher Dub", d'autant moins qu'il ouvre le bal, et que l'excellente maison Jarring Effects l'offre en téléchargement dans son intégralité (là). Pour ce qui me concerne, ça tourne façon derviche depuis une semaine. La rythmique est digne de Sly & Robbie, la ligne de basse mériterait à elle seule un album de versions, et le sitar y gagne ses galons d'instrument traditionnel jamaïcain. Cela dit, "Pusher Dub" n'est pas une exception, et chacun des titres suivants mérite grande attention, et, de fait, la capte rapidement si elle prétend s'égarer. Citons notamment "Early Dub", au rythme mesuré, confirmé par un skank de guitare et/ou de synthé, survolé d'une paisible mélodie aux airs de berceuse, saupoudré sur la fin de samples de chez I-Roy (sauf erreur ou omission), et qui est servi accompagné d'une version enrichie en percussions. I-Roy encore, et certainement cette fois, revenu de chez les morts pour donner de la patine à "Dub Fever", solide riddim façon High Tone auquel un barrage de synthés à la limite du drone vole progressivement la vedette. Mais tout cela n'est rien, ou presque. Highvisators, on n'en prend vraiment la mesure qu'à la fin de l'album. On commence vraiment à comprendre avec "Keep on Fire". On comprend d'abord que Highvisators est ce qui est arrivé de mieux à la scéne française depuis un bout de temps, mais on comprend aussi le dub en général, si des fois on avait des doutes. On voit bien cette histoire de console de mixage qui serait un instrument à part entière. On comprend ce qu'est une ligne de basse. T'as déjà vu la faille de San-Adreas? Bouge pas, on va t'organiser ça dans ton salon. Bref, quoi, comment dire, incroyable. Incroyable. La fin du monde, dans la bonne humeur et l'exaltation générale. La fin du monde, ou presque, puisque ça repart de plus belle avec "Dirty Eighty". Et non, en fait, non, on n'avait pas bien compris ce qu'était une ligne de basse. Il restait quelques nuances à appréhender. Là, c'est chose faite. Le dub a peut-être passé sa tendre enfance en Jamaïque, mais, manifestement, il vit depuis quelques années à côté d'une zone industrielle, et il est très, très fâché. En guise de conclusion, un petit avertissement avant que vous ne vous propulsiez chez le disquaire: assurez-vous que vous habitez un machin répondant aux normes anti-sismiques. C'est important. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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