Les courses / Les jeux / Pablo Cueco, Mirtha Pozzi, comp., perc., échantillonnage

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Pablo Cueco, Mirtha Pozzi, comp., perc., échantillonnage

Appartient à : «Les actualités ; Un Drame Musical Instantané, [j-fy], Magic Malik Orchestra... [et al], interpr.»

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Biographie

Manu Dibango, surnommé Papa Groove, est un saxophoniste et chanteur camerounais de world jazz né le 12 décembre 1933 à Douala (Cameroun) et mort le 24 mars 2020 à Melun, (France).

Biographie

Emmanuel N'Djoké Dibango, dit Manu Dibango (12 décembre 1933 à Douala-24 mars 2020 à Paris), est un saxophoniste de jazz d'origine camerounaise. Manu Dibango naît le 12 décembre 1933 à Douala dans un milieu protestant. Etudiant à Chartres dans les années 1950, il y découvre le jazz et y apprend le piano mais c'est à Reims où il prépare le baccalauréat qu'il s'initie au saxophone et commence à se produire dans les boîtes au grand dam de son père qui lui coupe les vivres en 1956. Différents contrats le mènent à Bruxelles où il rencontre Coco, sa femme et mère de sa fille Georgia, Anvers et Charleroi où son jazz s'africanise au contact du milieu congolais dans l'ambiance de l'accession du Congo belge à l'indépendance en 1960. Joseph Kabasélé l'engage dans son orchestre et ils enregistrent plusieurs disques qui remportent le succès en Afrique et les amènent à Léopoldville où Manu lance le twist en 1962. En revanche, le retour au Cameroun en 1963 est difficile et il regagne la France. En 1967, Manu Dibango trône à la tête de son premier BIG BAND, et crée et développe son style musical novateur et urbain pour une série d’émissions télévisées, "Pulsations" à la demande de Gésip Légitimus, producteur TV. Ainsi, il fut mis en relation avec Dick Rivers et Nino Ferrer, vedettes de l'époque ayant aussi participé aux émissions de Gésip Légitimus, qui l'engagent successivement. En 1969 il enregistre des compositions personnelles qui lui font renouer avec le succès africain. En 1972, la face B d'un 45 tours, Soul Makossa, fait la conquête des États-Unis et lui valent d'y faire une tournée. Ses accents africains passionnent les musiciens noirs d'Amérique. En 1992, Yves Bigot (FNAC Music) lui propose d'enregistrer "Wakafrica", un album de reprises des plus grands tubes africains avec la crême des artistes africains et des musiciens internationaux. L'album, dont George Acogny assura la réalisation et Philippe Poustis la production exécutive, paraîtra dans le monde entier. Projet ambitieux de réunification musicale de l'Afrique, Manu revisita le patrimoine de la chanson en invitant les ténors Youssou N'dour sur Soul Makossa, King Sunny Ade sur Hi-Life, Salif Keita sur Emma, Angélique Kidjo et Papa Wemba sur le très beau Ami Oh ! sans oublier Peter Gabriel, Sinéad O'Connor, Dominic Miller (guitariste de Sting) et Manu Katché (entre autres) ... Manu Dibango fut le parrain officiel de la vingtième édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) qui s'est déroulé en février 2007. Discographie partielle : Soul Makossa (1972) Super Kumba (1976) Afrovision (1978) Gone Clear (1980) Afrijazzy (1986) Négropolitaines (1989) Makossa Man (1991) Polysonik (1992) Wakafrika (1992) CubAfrica (avec Cuarteto Patria) (1998) Manu safari (1998) Mboa' Su (2000) Manu Dibango joue Sydney Bechet (2007) Site officiel de l'artiste http://www.manudibango.net/ Un clip de Manu Dibango «Hommage à la Nouvelle Orléans» http://www.oc-tv.net/manu-dibango.htm Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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