Woman in the moon = Die frau im Mond : B.O.F. / Jeff Mills, prod., comp.

Musique audio

Jeff Mills, prod., comp. ; Fritz Lang, réal.

Edité par Axis , 2015

DJ, producteur visionnaire, précurseur et pilier de la techno de Detroit, Jeff Mills signe ici un projet sous forme d'une B.O pour le film de science fiction Woman in the moon (Die Frau im Mond) réalisée par Fritz Lang en 1929. Jeff Mills est aujourd'hui considéré comme l'un des DJ et producteurs de musique techno les plus inventifs et compose depuis plusieurs années pour le cinéma.

Type de document
Disque compact
Langues
000
Description physique
3 disque(s) compact(s); 12 cm
Date de publication
2015
Auteurs
Mills, Jeff. Producteur. Compositeur
Lang, Fritz (1890-1976). Réalisateur
Cote
520 WOM
Fonds
Adulte
Classification
Musiques de films
Genre musical
Techno Bande originale de film
1 exemplaire disponible

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3 -- Ridiculed
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Musique audio - 2005 - Olympia 84 : Chemin de traverse, intégrale, vol. 13 / William Sheller, chant

MLIS Discothèque/Vidéothèque Adultes | 0 99.7 SHE | Disque compact | Contenu dans un pack

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Biographie

William Sheller, né William Desbœuf 17e, est un auteur-compositeur-interprète français. Prolifique artiste depuis les années 1970, William Sheller bénéficie d'une formation approfondie en musique classique. Tout en composant de nombreuses œuvres classiques, c'est dans le domaine de la variété qu'il perce. L'influence de sa formation classique se manifeste par un style musical sophistiqué, alliant parfois des éléments de la musique classique avec de la musique pop. William Sheller se fait connaître du grand public en 1975 avec le titre Rock'n'Dollars. La même année sort son premier album de chansons, William Sheller, presque entièrement écrit et composé par lui. L'artiste dénombre un total de vingt-huit albums studios, albums en public et autres formats, vendus à près de deux millions d'exemplaires rien qu'en France.

Biographie

Élevé dans une ambiance musicale et théâtrale avec ses grand-parents maternels, William Sheller devient très tôt élève d'Yves Margat, lui-même ancien élève de Gabriel Fauré. À 16 ans, encouragé par ses parents, il quitte l'école pour aller étudier au conservatoire. Il commence par écrire des chansons pour Dalida et Barbara, des musiques de film comme Erotissimo et une messe de mariage pour des amis, Lux æterna, associant déjà orchestre symphonique, chœurs et groupe de rock. Sur les encouragements de son amie Barbara, qui lui dit « tu devrais chanter », il enregistre son premier album en tant qu'auteur-compositeur-interprète, Rock 'n' Dollars. Après son quatrième album, il fait ses débuts sur scène en 1981, à Bobino. Un an plus tard, il foule pour la première fois les planches de l'Olympia, ce qui donnera lieu à son premier album live. Dans le courant des années quatre-vingt, Sheller s'éloigne progressivement du show-business et sa carrière prend un tour résolument personnel. En 1984, il donne une série de concerts avec le quatuor Halvenalf. À partir de 1987, ses albums tirent profit, peu à peu, de son indépendance chèrement gagnée. Ainsi trouve-t-on dans Univers un étonnant fragment d'opéra, L'Empire de Toholl, mais aussi Le Nouveau monde, chanson qui débute par une ouverture à la française dans le style de Lully, et où batterie et guitare électrique viennent rejoindre l'orchestre symphonique. En 1989, l'album Ailleurs est entièrement écrit pour orchestre symphonique et comprend plusieurs pages instrumentales. On y trouve quelques titres-phares comme Excalibur ou La Tête brûlée. En mai 1990, Sheller donne une série de concerts au palais des congrès avec un orchestre symphonique de 70 musiciens, placé sous la direction de Louis Langrée. À cette occasion est créé son concerto pour violoncelle et orchestre, sous l'archet de Jean-Philippe Audin, déjà violoncelliste solo sur Ailleurs. Suit une tournée avec un orchestre plus réduit. En 1991, l'album Sheller en solitaire, enregistré en mars au piano et en public, propose une version intimiste de tous les grands classiques de la période 1975-1983, ainsi qu'une nouveauté, Un homme heureux, qui s'impose immédiatement comme la chanson emblématique de Sheller. En février 1992, Sheller en solitaire est consacré par deux victoires de la musique : celle du meilleur album, et celle de la meilleure chanson pour Un homme heureux. En 1994, pour rompre avec son image de chanteur pour midinettes que Sheller en solitaire a imposée, il se rend en Angleterre pour enregistrer Albion, un album rock décapant qui a réjoui la critique mais n'a pas rencontré les faveurs du public. On y trouve pourtant de nombreux trésors, dont une nouvelle version de Excalibur. La tournée qui suit, où la section rock est enrichie d'un petit orchestre symphonique, ne reprendra que très peu de ces nouveaux titres, comme en témoigne le live Olympiade. En 2000, avec Les Machines absurdes, Sheller propose un album-patchwork de chansons tantôt symphoniques, tantôt au piano, tantôt électro. Il donne une série de concerts avec un orchestre proche de celui de 1994, sous la direction du premier violon Nicolas Stevens. Le 11 novembre, au théâtre des Champs-Élysées, a lieu le plus long concert de sa carrière : près de quatre heures de chansons. Son fils Siegfried et son père Jack Hand viennent le rejoindre sur scène au moment des rappels. En avril 2003, un nouvel enregistrement de ses quatuors à cordes est publié en CD. En 2004, William Sheller est invité par le festival de musique de Sully-sur-Loire, qui lui commande une symphonie. Celle-ci est donc créée à Sully le 5 juin, par l'orchestre Ostinato placé sous la direction de Jean-Luc Tingaud. Sorti fin 2004, l'album Épures marque un retour au piano solo pour un disque court, ramassé, peut-être le meilleur depuis Ailleurs. Suit une tournée avec l'orchestre de 2000, qui donne lieu à un DVD, Parade au cirque royal. Puis il donne de nouveau quelques concerts, accompagné cette fois par le quatuor Stevens. En octobre 2006 paraît Ostinato, un CD entièrement dédié à sa musique symphonique. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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