Working Men's Club / Working Men's Club, ens. voc. & instr.

Musique audio

Working Men's Club, ens. voc. & instr.

Edité par Heavenly , 2020

Armés de batteries, de synthés et de regards glacés, les membres de Working Men's Club présentent leur premier album, un pur produit du territoire britannique issu de Sheffield et disponible grâce à Heavenly Recordings. Produit par Ross Orton (The Fall, M.I.A, Arctic Monkeys), ce disque du quatuor s'apprête à bouleverser 2020 avec un mélange étourdissant de rock psychédélique à tendance new wave entièrement dédié au dancefloor. Leur ascension a été fulgurante, suite à leurs tournées avec Fat White Family, Mac DeMarco et Bodega, ainsi que leurs propres dates à guichets fermés. Découvrez ce puissant sentiment d'extase qui découle de leur groove post-punk et rejoignez le club.

Type de document
Disque compact
Langues
anglais
Description physique
1 disque(s) compact(s); 12 cm
Date de publication
2020
Auteurs
Working Men's Club. Interprète
Cote
2 WOR 70
Fonds
Adulte
Classification
Rock, rap, variété internationale

Ecouter les fichiers audio

1 -- Valleys
2 -- A.A.A.A.
3 -- John Cooper Clarke
4 -- White rooms and people
5 -- Outside

Se procurer le document

Pour réserver un document connectez-vous à votre compte.

Musique audio - 2012 - Macbeth / Salvatore Sciarrino, comp.

MLIS Discothèque/Vidéothèque Adultes | 3 SCI 35 | Disque compact | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Fear fear / Working Men's Club, ens. voc. & i...

Working Men's Club | Musique audio | Heavenly Recordings | 2022

Le quatuor mancunien Working Men's Club est de retour ! Adoubé par Baxter Dury et Fat White Family, le groupe a marqué l'année 2020 avec un premier album sidérant de maîtrise, un cocktail détonnant de punk rock abrasif traversé d'...

19 - Fear fear - Widow - Ploys - Cut - Rapture - Circumference - Heart attack - Money is mine - The last one

En savoir plus

Biographie

Salvatore Sciarrino est un compositeur et interprète italien, né le 4 avril 1947 à Palerme.

Ecouter l'album sur Deezer

Biographie

Compositeur italien né le 4 avril 1947 à Palerme. Biographie: Originaire de Sicile, Salvatore Sciarrino étudie les arts visuels avant de se consacrer à la musique. Il se forme essentiellement en autodidacte, directement sur les œuvres des compositeurs anciens et modernes, même s’il bénéficie de contacts importants, en particulier avec Antonio Titone et Turi Belfiore. Sa première création publique a lieu en 1962. Il complète ses études à Rome et à Milan et s’initie à la musique électronique avec Franco Evangelisti, qu’il considère avec Stockhausen comme l’un de ses « pères » artistiques. Il enseigne ensuite la composition aux conservatoires de Milan, Pérouse et Florence, dirige des master classes. Il reçoit de nombreux prix, dont le prix de la Société Internationale de Musique contemporaine (1971 et 1974), le prix Dallapiccola (1974), celui de l’Anno discografico (1979), le Psacaropoulos (1983), le prix Abbiati (1983), le Premio Italia (1984), et à trente ans, il est nommé directeur artistique du théâtre communal de Bologne, fonction qu’il assume de 1978 à 1980. En 1982, il se retire dans la petite ville d’Ombrie Città di Castello pour se consacrer à la composition, autant que lui permette son importante activité de pédagogue. Bien qu’affirmant sa filiation avec des avant-gardistes, Stockhausen en particulier, Salvatore Sciarrino revendique le fait de situer son travail dans une continuité avec l’histoire. Son très important catalogue - sans doute le plus vaste des compositeurs d’aujourd’hui - ne présente pas de rupture mais une évolution vers une nouvelle conception de la musique parfois désignée comme « écologie » de l’écoute et du son. On parle dès ses débuts dans les années 60 d’un « son Sciarrino ». Sa musique est intimiste, concentrée et raffinée, construite sur des principes de microvariations de structures sonores constituées de timbres recherchés et de souffle. Il prône un monde sonore transparent, raréfié et proche du silence, ou du « son zéro » qui pour le compositeur est déjà musique, un monde fait d’une multitude de sons microscopiques, d’un flot continu de bruits infimes, un monde sonore réduit à l’essentiel. Les titres de ses œuvres sont éloquents : Esplorazione del bianco (1986), Cantare con silenzio (1999). De la même façon, la dramaturgie est inhérente à la musique dans l’action invisible Lohengrin (1984) où, par un procédé synesthésique, la perversion du mythe chez Jules Laforgue, l’auteur du texte, se traduit chez Sciarrino par la dénaturalisation du timbre. Le compositeur organise ses œuvres comme on trace les lignes d’un dessin, utilise des techniques d’estompage du son, de fusion des couleurs, de jeux de lumière dans le modelage du timbre : un univers proche des arts plastiques dont Morte di Borromini (1988), Omaggio a Burri (1995) font l’éloge. Dans le catalogue de Sciarrino, la voix occupe une place majeure, des expériences sur l’émission vocale de Lohengrin aux œuvres plus récentes dont l’écriture est plus centrée sur une continuité mélodique liée à la psychologie des personnages : Luci mie traditrici (1998), Macbeth (2002), et surtout Infinito nero (1998), sur les visions mystiques de Maria Maddalena dei Pazzi. © Ircam - Centre Pompidou, 2007. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

Artistes similaires