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La première ou dernière / L. L. Kloetzer
Livre
Edité par Belial'. Moret-loing-et-orvanne , 2023
Les Courses ! Le meilleur moment de l'année, celui où toute la cité de la Toge noire vibre de voir s'affronter les cavaliers des Verts, des Blancs, des Noirs et des Rouges. Derrière chaque couleur, les partis se rassemblent, on se passionne, on joue gros ! Le peuple grogne, les dirigeants vacillent sur leurs sièges, les opportunistes se frottent les mains, les cavaliers favoris jettent de pleines poignées d'argent à leurs admirateurs, leurs chevaux sont adulés comme des dieux. Ajouter une grosse dose de sorcellerie à tant de fureurs, est-ce vraiment une bonne idée ? Qui se cache derrière les tablettes de malédiction et les vers-pièges ? Noon, notre jeune sorcier récemment établi en ville pour y faire commerce de magie, ferait peut-être mieux de se contenter de missions faciles, comme protéger ce jeune prince mingol, plutôt que de s'intéresser à un sujet aussi politique qui le jettera à coup sûr dans les intrigues du palais. A ce sujet, Meg, sa disciple, et Yors, leur garde du corps, sont enfin d'accord : patron, ne vous mêlez pas de tout ça, c'est trop gros pour nous ! Mais le maître du soleil noir n'en fait jamais qu'à sa tête... Enquête rythmée et fantastique, sombre parfois, La Première ou dernière est la deuxième aventure (indépendante de la première) de Noon, sorcier libre, curieux et décalé, cherchant l'équilibre et la justice dans un monde pesant.
L. L. Kloetzer écrit à quatre mains et publie là son quatrième roman, enquête magique dans un monde fantastique, dans la grande tradition des récits de Sword and Sorcery. Edition illustrée par Nicolas Fructus.
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- Type de document
- Livre
- Langues
- français
- Traduit de
- français
- Description physique
- 396 p.; 21 x 14 cm
- ISBN
- 978-2-38163-080-9
- Date de publication
- 2023
- Série
- Noon
- Cote
- RFA KLO NOO 2
- Fonds
- Adulte
- Classification
- Romans de fantasy et fantastique
- Genre littéraire
- fantasy
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Biographie

Biographie

François Couperin, dit « le Grand » (Paris 10 novembre 1668 - Paris 11 septembre 1733) était un des principaux compositeurs français de l'époque « baroque ». Il doit sa renommée principalement à son œuvre pour clavecin, la plus importante et une des plus remarquables de toute l'école française. Originaires de Chaumes-en-Brie, les Couperin appartiennent à une des plus nombreuses familles de musiciens français des XVIIe et XVIIIe siècles. Comme nombre de ses collègues, François Couperin est tout naturellement destiné, dès sa naissance, à une carrière musicale. Le père de François Couperin, Charles (1639-1679), était le plus jeune frère de Louis Couperin et lui avait succédé comme titulaire de l'orgue de l'église parisienne de Saint-Gervais. Il était également professeur de clavecin de la duchesse d'Orléans. François apprit la musique auprès de son père avant même de lire et d'écrire. Il ne fit pas d'études générales et ses écrits sont d'un style et d'une orthographe qui laissent beaucoup à désirer. Orphelin de bonne heure, il était déjà suffisamment doué pour qu'on lui assure la « survivance » de son père à l'orgue de Saint-Gervais, c'est-à-dire la transmission de la charge de titulaire, en la confiant temporairement à Michel-Richard Delalande jusqu'à ce que le garçon eut l'âge et l'expérience requis. Il se perfectionna auprès de Jacques Thomelin, organiste de Saint-Jacques la Boucherie et, surtout, l'un des quatre titulaires de l'orgue de la Chapelle Royale. C'est certainement par l'entremise de Delalande et de Buterne qu'il entra au service de Louis XIV. Ses qualités de musicien le firent hautement apprécier du souverain, et il fut nommé l'un des quatre organistes (par quartier) de la Chapelle Royale. Couperin, qui n'était pas un homme d'intrigues, ne vécut que pour son art, et n'obtint pas un poste que ses dons auraient pu lui assurer: celui de claveciniste du roi. C'est le fils de Jean-Henri d'Anglebert, piètre musicien, qui conserva la survivance de la charge lorsque son père mourut. De santé fragile et de caractère peu mondain, Couperin, quant à lui, mena une honnête carrière de musicien et de professeur, apprécié cependant des grands qui ne lui voyaient qu'un rival : Louis Marchand. Peu d'événements de sa vie personnelle sont notables, si ce n'est la disparition d'un de ses fils qui quitta le domicile paternel sans presque jamais y revenir. Quant à ses deux filles, elles furent elles-mêmes des musiciennes accomplies. Vers la fin de sa vie, il abandonna progressivement ses diverses charges, notamment à la Chapelle Royale et sa tribune à l'orgue de Saint-Gervais. Couperin est avant tout, avec Jean-Philippe Rameau, le grand maître du clavecin en France au XVIIIe siècle, tant par la quantité de ses pièces que par leur qualité. Son œuvre comprend vingt-sept ordres en quatre livres : les premiers se rattachent encore, de façon très libre, à la suite traditionnelle (mais peuvent comporter un nombre de pièces important : jusqu'à vingt-deux pour le second ordre). Toute référence aux airs de danse disparaît à partir du second recueil et Couperin élabore un style qui lui est très personnel, fait d'une poésie discrète, d'une atmosphère élégiaque et d'une technique qui ne se laisse jamais dominer par la virtuosité ou les effets. Malgré les années passées à tenir l'orgue de Saint-Gervais et de la Chapelle Royale, Couperin - comme nombre de ses confrères organistes - n'a laissé pour cet instrument que deux messes, oeuvres de jeunesse, qui constituent néanmoins un des sommets du répertoire français classique. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.