Chnoques / Steve Waring, chant, banjo, guimbarde, guit.

Musique audio

Steve Waring, chant, banjo, guimbarde, guit. ; Alain Gibert, trombone, guit., voix ; Maurice Merle, saxos, chant...[et al.]

Edité par Rym Musique ; Universal (distrib.) , 2001

Type de document
Disque compact
Langues
français
Description physique
1 d. c. (42 min 42 s); 12 cm. 1 livret textes
Date de publication
2001
Auteurs
Waring, Steve. Interprète
Gibert, Alain. Interprète
Merle, Maurice (1945-2002) - saxophoniste. Interprète
Ricros, André (1953-....). Interprète
Rollet, Christian (1948-) - batteur. Interprète
Saulnier, Michel. Interprète
Villerd, Guy. Interprète
Cote
710 WAR
Fonds
Jeunesse
Classification
Phonogrammes enfants
Genre musical
Chanson enfantine
1 exemplaire disponible

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Musique audio - 2010 - Chnoques / Steve Waring, chant, banjo, guimbarde, guit.

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Biographie

Une fois les influences héroïques assimilées, après avoir véritablement pris le nouveau chemin sur lequel il souhaitait s’engager, et après avoir définitivement affirmé sa personnalité à travers les réalisations d’une période créatrice allant de la Symphonie Héroïque jusqu’à la Septième Symphonie, Beethoven cesse de s’intéresser aux œuvres de ses contemporains, et par conséquent d’être influencé par elles. Parmi ses contemporains, seuls Cherubini et Schubert l’enchantent encore ; mais en aucune manière il ne songe à les imiter. Méprisant par-dessus tout l’opéra italien, et désapprouvant fermement le romantisme naissant, Beethoven sent alors le besoin de se tourner vers les piliers historiques de la musique : J.S. Bach et G.F. Haendel, ainsi que les grands maîtres de la renaissance, tels Palestrina. Parmi ces influences, la place de Haendel est plus que privilégiée : jamais sans doute n’eut-il de plus fervent admirateur que Beethoven ; qui (désignant ses œuvres complètes, qu’il vient de recevoir) s’écrie : Voilà la vérité ! ; ou encore Beethoven qui, au soir de sa vie, dit vouloir s’agenouiller sur sa tombe. De l’œuvre de Haendel, la musique du dernier Beethoven prend souvent l’aspect grandiose et généreux, par l’emploi de rythmes pointés comme c’est le cas dans l’introduction de la , dans le premier mouvement de la Neuvième symphonie ou encore dans la seconde Variation Diabelli ou même par un certain sens de l’harmonie, ainsi que le montrent les premières mesures du deuxième mouvement de la , entièrement harmonisées dans le plus pur style haendelien. C’est également l’inépuisable vitalité caractéristique de la musique de Haendel qui fascine Beethoven, et que l’on retrouve par exemple dans le fugato choral sur « {{langue|de|Freude, schöner Götterfunken}} » qui suit le célèbre « {{langue|de|Seid umschlungen, Millionen}} », dans le finale de la Neuvième symphonie : le thème qui y apparaît, balancé par un puissant rythme ternaire, relève d’une simplicité et d’une vivacité typiquement haendeliennes jusque dans ses moindres contours mélodiques. Un nouveau pas est franchi avec la Missa solemnis, où la marque des grandes œuvres chorales de Haendel se fait plus que jamais sentir. Beethoven est même tellement absorbé dans l’univers du Messie qu’il en retranscrit note pour note l’un des plus célèbres motifs de l’Halleluja dans le Gloria. Dans d’autres œuvres, on retrouve la nervosité que peuvent revêtir les rythmes pointés de Haendel parfaitement intégrée au style beethovénien, comme dans l’effervescente Grande Fugue ou encore dans le second mouvement de la , où cette influence se voit peu à peu littéralement transfigurée. Enfin, c’est également dans le domaine de la fugue que l’œuvre de Haendel imprègne Beethoven. Si les exemples du genre écrits par l’auteur du Messie reposent sur une parfaite maîtrise des techniques contrapuntiques, elles se fondent généralement sur des thèmes simples et suivent un cheminement qui ne prétend pas à l’extrême élaboration de fugues de Bach. C’est ce qui a dû satisfaire Beethoven, qui d’une part partage avec Haendel le souci de construire des œuvres entières à partir d’un matériau aussi simple et réduit que possible, et qui d’autre part ne possède pas les prédispositions pour le contrepoint qui lui permettraient d’y chercher une excessive sophistication.

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Biographie

BEETHOVEN Ludwig van (1770 - 1827) «Sa musique déborde de souvenirs aussi bien que de prédictions» : la formule de Charles Rosen résume on ne peut mieux la position de Ludwig van Beethoven dans l'histoire de la musique. Ludwig van Beethoven (Bonn, 16 ou 17 décembre 1770 — Vienne, 26 mars 1827) était un compositeur allemand dont l'œuvre s'étend chronologiquement de la période classique aux débuts du romantisme. Dernier grand représentant du classicisme viennois (après Gluck, Haydn et Mozart), Beethoven prépara l'évolution vers le romantisme en musique et influença la musique occidentale pendant une grande partie du XIXe siècle. Inclassable (« Vous me faites l'impression d'un homme qui a plusieurs têtes, plusieurs cœurs, plusieurs âmes » lui dit Haydn vers 1793), son art s'exprima dans tous les genres, et bien que sa musique symphonique fût la principale source de sa popularité universelle, c'est dans l'écriture pianistique et dans la musique de chambre que son impact fut le plus considérable. Surmontant à force de volonté les épreuves d'une vie marquée par le drame de la surdité, célébrant dans sa musique le triomphe de l'héroïsme et de la joie quand le destin lui prescrivait l'isolement et la misère, il a mérité cette affirmation de Romain Rolland : « Il est bien davantage que le premier des musiciens. Il est la force la plus héroïque de l'art moderne ». Expression d'une inaltérable foi en l'homme et d'un optimisme volontaire, consacrant l'art musical comme action d'un homme libre et non plus comme simple distraction, l'œuvre de Beethoven a fait de lui une des figures les plus marquantes de l'histoire de la musique. Ludwig van Beethoven naquit à Bonn en Rhénanie, le 16 ou le 17 décembre 1770, dans une famille modeste qui perpétuait une tradition musicale depuis au moins deux générations. Son grand-père paternel, Ludwig van Beethoven l'ancien (1712 - 1773), descendait d'une famille flamande roturière originaire de Malines (la particule « van » n'a donc pas de valeur nobiliaire). Homme respecté et bon musicien, il s'était installé à Bonn en 1732 et était devenu maître de chapelle du Prince-Électeur de Cologne. Son père, Johann van Beethoven (1740 - 1792), était musicien et ténor à la Cour de l'Électeur. Homme médiocre et brutal, alcoolique notoire, il éleva ses enfants dans la plus grande rigueur. Sa mère, Maria-Magdalena van Beethoven, née Keverich (1746 - 1787), était la fille d'un cuisinier de l'Électeur de Trèves. Dépeinte comme douce mais dépressive, elle fut aimée de ses enfants mais effacée. Ludwig était le cadet de sept enfants dont trois seulement atteignirent l'âge adulte : lui-même, Kaspar-Karl (1774 - 1815) et Johann (1776 - 1848). Il ne fallut pas longtemps à Johann van Beethoven pour détecter le don musical de son fils et réaliser le parti exceptionnel qu'il pourrait en tirer. Songeant à l'enfant Mozart, exhibé en concert à travers toute l'Europe une quinzaine d'années plus tôt, il entreprit dès 1775 l'éducation musicale de Ludwig et, devant ses exceptionnelles dispositions, tenta en 1778 de le présenter au piano à travers la Rhénanie, de Bonn à Cologne, en le faisant passer pour deux ans plus jeune qu'il ne l'était. Mais là où Léopold Mozart avait su faire preuve d'une subtile pédagogie auprès de son fils, Johann van Beethoven ne semble avoir été capable que d'autorité et de brutalité : cette expérience demeura infructueuse et sans suite, à l'exception d'une tournée aux Pays-Bas en 1781. Parallèlement à une éducation générale qu'il dut pour beaucoup à l'accueil et à la bienveillance de la famille von Breuning et à son amitié avec le médecin Franz-Gerhard Wegeler, auxquels il fut attaché toute sa vie, le jeune Ludwig devint l'élève de Christian Gottlob Neefe (piano, orgue, composition) et composa pour le piano, entre 1782 et 1783, les Neuf Variations sur une marche de Dressler et les trois Sonatines dites à l'Électeur qui marquèrent symboliquement le début de sa production musicale. Devenu organiste adjoint à la Cour du nouvel Électeur Max-Franz qui devint son protecteur (1784), Beethoven fut remarqué par le comte Ferdinand von Waldstein, qui joua un rôle déterminant dans l'avenir du jeune musicien. Il emmena Beethoven une première fois à Vienne en avril 1787, séjour au cours duquel aurait eu lieu une rencontre furtive avec Mozart 8 . Mais surtout, en juillet 1792, il présenta Beethoven à Joseph Haydn qui, revenant d'une tournée en Angleterre, s'était arrêté à Bonn. Impressionné par la lecture d'une cantate composée par Beethoven (celle sur la mort de Joseph II ou celle sur l'avènement de Léopold II) tout en étant lucide sur les carences de son instruction, Haydn l'invita à faire des études suivies à Vienne sous sa direction. Conscient de l'opportunité que représentaient, à Vienne, l'enseignement d'un musicien du renom de Haydn, et quasiment privé de ses attaches familiales à Bonn (sa mère était décédée de la tuberculose en juillet 1787, et son père, sombrant dans l'alcoolisme, avait été mis à la retraite en 1789 et était incapable d'assurer la subsistance de sa famille), Beethoven accepta. Le 2 novembre 1792 il quitta les rives du Rhin pour ne jamais y revenir. À la fin du XVIIIe siècle, Vienne était la capitale incontestée de la musique occidentale et représentait la meilleure chance de réussir pour un musicien désireux de faire carrière. Âgé de vingt-deux ans à son arrivée, Beethoven n'avait encore pour ainsi dire rien écrit d'important, si loin qu'il était de sa maturité artistique, ce qui le distinguait fondamentalement de Mozart. En effet, bien que Beethoven fût arrivé à Vienne moins d'un an après la disparition de son illustre prédécesseur, qu'il adulait, le mythe du « passage du flambeau » ne pouvait résister longtemps aux faits : c'est comme pianiste virtuose qu'il forgea d'abord sa réputation, bien avant de se faire un nom comme compositeur. Quant à l'enseignement de Haydn, si prestigieux qu'il fût, il s'avéra décevant à bien des égards. L'indiscipline et l'entêtement de son élève irritèrent Haydn, et malgré une estime réciproque plusieurs fois rappelée, le « père de la symphonie » n'eut jamais avec Beethoven les rapports de profonde amitié qu'il avait eus avec Mozart. Cependant Haydn eut une influence profonde et durable sur l'œuvre de Beethoven, et bien plus tard ce dernier reconnut tout ce qu'il devait à son maître. Après le nouveau départ de Haydn pour Londres (janvier 1794), Beethoven poursuivit des études épisodiques jusqu'au début de 1795 avec divers autres professeurs dont le compositeur Johann Schenk et deux autres témoins prestigieux de l'époque mozartienne : Johann Georg Albrechtsberger et Antonio Salieri. Son apprentissage terminé, Beethoven se fixa définitivement à Vienne. Ses talents de pianiste l'avaient fait connaître et apprécier des personnalités mélomanes de l'aristocratie viennoise, dont les noms restent aujourd'hui encore attachés aux dédicaces de plusieurs de ses chefs-d'œuvre : le baron Nikolaus Zmeskall, le prince Carl Lichnowsky, le comte Andrei Razumovsky, le prince Joseph Franz von Lobkowitz, et plus tard l'archiduc Rodolphe d'Autriche, pour ne citer qu'eux. Après avoir publié ses trois premiers Trios pour piano, violon et violoncelle sous le numéro d'opus 1, puis ses premières Sonates pour piano, Beethoven donna son premier concert public le 29 mars 1795 pour la création de son Deuxième Concerto pour piano (qui fut en fait composé le premier, à l'époque de Bonn). En 1796 Beethoven entreprit une tournée de concerts qui le mena de Vienne à Berlin en passant notamment par Dresde, Leipzig, Nuremberg et Prague. Si le public loua sa virtuosité et son inspiration au piano, sa fougue lui valut le scepticisme des critiques les plus conservateurs 11 . La lecture des classiques grecs, de Shakespeare et des chefs de file du courant Sturm und Drang qu'étaient Goethe et Schiller influença durablement dans le sens de l'idéalisme le tempérament du musicien, acquis par ailleurs aux idées des Lumières et de la Révolution française qui se répandaient alors en Europe. Beethoven fréquenta assidûment en 1798 l'ambassade de France à Vienne où il rencontra Bernadotte et le violoniste Rodolphe Kreutzer auquel il dédia, en 1803, la célèbre Sonate pour violon n° 9 qui porte son nom. Tandis que son activité créatrice s'intensifiait (composition des Sonates pour piano n° 5 à n° 7, des premières Sonates pour violon et piano), le compositeur participa jusqu'aux environs de 1800 à des joutes musicales dont raffolait la société viennoise et qui le consacrèrent plus grand virtuose de Vienne. Des pianistes réputés comme Muzio Clementi, Johann Baptist Cramer, Josef Gelinek, Johann Hummel et Daniel Steibelt en firent les frais. La fin des années 1790 fut aussi l'époque des premiers chefs-d'œuvre, qui s'incarnèrent dans le Premier Concerto pour piano (1798), les six premiers Quatuors à cordes (1798-1800), le Septuor pour cordes et vents (1799-1800) et dans les deux œuvres qui affirmaient le plus clairement le caractère naissant du musicien : la Grande Sonate pathétique (1798-1799) et la Première Symphonie (1800). Bien que l'influence des dernières symphonies de Haydn y fût apparente, cette dernière était déjà empreinte du caractère beethovénien (en particulier dans le scherzo du troisième mouvement) et portait en germe la promesse de réussites plus grandes encore. Le Premier Concerto et la Première symphonie furent joués avec un grand succès le 2 avril 1800, date de la première académie de Beethoven (concert que le musicien consacrait entièrement à ses œuvres). Conforté par les rentes que lui versaient ses protecteurs, Beethoven, dont la renommée grandissante commençait à dépasser les frontières de l'Autriche, semblait alors promis à une carrière de compositeur et d'interprète glorieuse et aisée. Elevé sévèrement par son père dans l'espoir d'en faire un enfant prodige comme Mozart, il s'en est fallu de peu pour que Ludwig van Beethoven ne soit à jamais dégoûté de la musique. Cependant, ses dons se développent et il accompagne son professeur de musique, l'organiste Neef, alors qu'il n'a que 12 ans. A la mort de sa mère, il doit s'occuper de ses frères, son père sombrant dans l'alcoolisme. Puis il quitte Bonn pour Vienne, où il étudie auprès de Joseph Haydn et Albrechtsberger. Bien accueilli dans la société viennoise, il vit de sa musique et de ses cours. Mais le destin le rattrape : à 29 ans, il se rend compte que ses facultés auditives s'affaiblissent. Le compositeur surmonte toutefois cette épreuve et se réfugie dans la composition. Il ne se marie pas et reporte son amour sur son neveu, Karl, dont il va demander la garde à la mort de son frère. Lorsque, au cours de l'été 1826, Karl tente de se suicider, le compositeur vit un ultime drame : sa santé commence à décliner et il s'éteint à Vienne, le 26 mars 1827. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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