Poésie, 1. Odes et Ballades. Les Orientales / Victor Hugo

Livre

Victor Hugo ; préf. Jean Gaulmier ; éd. Bernard Leuilliot

Edité par Seuil. Paris , 1972

Autres documents dans la collection «L'Intégrale»

Voir la collection «L'Intégrale»

Type de document
Livre
Description physique
797 p. : ill.; 23 cm
Date de publication
1972
Collection
L'Intégrale
Série
L'Intégrale
Auteurs
Hugo, Victor (1802-1885)
Gaulmier, Jean (1905-1997). Préf.
Leuilliot, Bernard. Éd.
Cote
P HUG
Fonds
Adulte
Classification
Poésie
Vérification des exemplaires disponibles ...

Se procurer le document

Suggestions

Du même auteur

  • Poésie, 2. La Légende des Siècles. Les Chansons des rues et des bois / Victor Hugo | Hugo, Victor (1802-1885)

    Poésie, 2. La Légende des Siècles. Les Chanso...

    Hugo, Victor (1802-1885) | Livre | Seuil. Paris | 1972

    L' Année terrible - L' Art d'être grand-père - Le Pape - La Pitié suprême - Religons et Religion - L' Ane - Les Quatre Vents de l'Esprit

  • Poésie, 3 : posthumes. Poèmes de jeunesse. Nouveaux châtiments / Victor Hugo | Hugo, Victor (1802-1885)

    Poésie, 3 : posthumes. Poèmes de jeunesse. No...

    Hugo, Victor (1802-1885) | Livre | Seuil. Paris | 1972

    Les Années funestes - La Fin de Satan - Dieu - Toute la Lyre - Dernière gerbe - Océan

  • Correspondance familiale et écrits intimes. 2, 1828-1839 / Victor Hugo | Hugo, Victor (1802-1885). Auteur

    Correspondance familiale et écrits intimes. 2...

    Hugo, Victor (1802-1885). Auteur | Livre | Robert Laffont. Paris | 1991

En savoir plus

Biographie

Élevé par sa mère, Sophie Trébuchet, dans l'esprit du royalisme, Victor Hugo se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la république (J'ai grandi, écrit-il dans le poème « Écrit en 1846 » en réponse au reproche d'un ami de sa mère). Victor Hugo devient ainsi confident de Louis-Philippe en 1844, puis pair de France en 1845. Son premier discours en 1846 est pour défendre le sort de la Pologne écartelée entre plusieurs pays, puis en 1847, il défend le droit au retour des bannis, dont celui de Jérôme Napoléon Bonaparte. Il réclame la diminution du temps de travail des enfants, de 16 heures à 10 heures, mais sa proposition est contrée par le baron Louis Jacques Thénard dont il se vengera en formant le nom des Thénardier, ses personnages les plus détestables des Misérables. Le 25 février 1848, il est nommé maire du . Après un premier échec, il est élu le 4 juin 1848- député de la deuxième République et siège parmi les conservateurs. Le 20 juin, il prononce son premier discours à l'Assemblée. Lors des , il devient, comme soixante autres, commissaire chargé par l’Assemblée Constituante de rétablir l’ordre. Il commande des troupes face aux barricades, dans l'arrondissement parisien dont il se trouve être le maire. Il désapprouvera plus tard la répression sanglante à laquelle il a participé. Il fonde le journal L'Événement en août 1848. Il est déçu par les autorités issues de la Révolution de février et les lois répressives, que vote l’assemblée constituante contre la presse les 9 et 11 août 1848-, le révulsent et lui font dire : « Les hommes qui tiennent le pays depuis février ont d’abord pris l’anarchie pour la liberté ; maintenant ils prennent la liberté pour l’anarchie ». Il soutient la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte, élu président de la République en décembre 1848. Après la dissolution de l'Assemblée nationale, il est élu le 13 mai 1849 à l'Assemblée législative et prononce son Discours sur la misère le 9 juillet 1849. Il rompt avec Louis-Napoléon Bonaparte, lorsque celui-ci soutient le retour du pape à Rome, et il se bat progressivement contre ses anciens amis politiques, dont il réprouve la politique réactionnaire.