0 avis
L'Homme aux cercles bleus [enr.sonore] / Fred Vargas
Livre
Edité par Livraphone , 2006
" Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ? " Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de Paris. Au centre de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu : trombone, bougie, pince à épiler, patte de pigeon... Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent un maniaque, un joueur. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite sont de, mauvais augure. Il le sait, il le sent : bientôt, de l'anodin saugrenu on passera au tragique. Il n'a pas tort. Un matin, c'est le cadavre d'une femme égorgée que l'on trouve au milieu d'un de ces cercles bleus.
Autres documents dans la collection «Policier»
- Type de document
- Livre audio
- Langues
- français
- Description physique
- 1 disque compact MP3 (6h50min)
- Date de publication
- 2006
- Cote
- RP VAR
- Fonds
- Adulte
- Classification
- Romans policiers
- Genre littéraire
- policier
- Note
- texte intégral
Se procurer le document
Pour réserver un document connectez-vous à votre compte.
Musique audio - 2011 - The return of Pipecock Jackxon / Lee "Scratch" Perry, chant, prod.
Autre format
Issus de la même oeuvre
En savoir plus
Ecouter l'album sur Deezer
Biographie

Tour à tour producteur, chanteur, danseur, compositeur, ingénieur du son, bricoleur, porte-parole virulent et visionnaire, il reste un des rares artistes jamaïcains de sa génération encore en activité. Cet homme passe pour un authentique schizophrène, depuis le jour où il détruisit complètement son studio (Black Ark) en y mettant lui-même le feu en 1981. Exilé en Suisse, il y épousa une citoyenne helvétique. Aujourd'hui Lee Perry donne dans le reggae international avec un son new roots, digital, et il n'est désormais plus que chanteur. Le personnage actuel est tout autre que celui des années 1970. Alors qu'aujourd'hui il est un artiste de concert (comme peut le témoigner son passage au Zénith avec Pierpoljak et Max Romeo en avril 2006) et s'est éloigné de la culture jamaïcaine, dans les années 1970 toute la considération qui lui est vouée, l'est pour son travail de studio et le rôle influent qu'il a joué dans la musique jamaïcaine. À cette époque il était un aventurier, un bricoleur et expérimentateur qui créa de manière artisanale un son, une musique que personne n'a réussi à imiter, et mérite bien pour ses travaux et son génie extravagant cette comparaison : « Cet homme est le Salvador Dali jamaïcain » (Bass Culture de Lloyd Bradley) Ses œuvres, ses techniques, le son qu'il obtenait de son studio (avec un simple 4 pistes) ainsi que ses différentes collaborations ont fait de lui un pilier du reggae, musique qui va vibrer parallèlement à la sienne et qui va connaître brutalement la fin de son âge d'or le jour où il détruisit son studio. Lee Perry est pour les connaisseurs une figure emblématique de la musique expérimentale - comme Joe Meek pour le rock - même s'il n'est pas reconnu (ni même connu) parmi le monde de la musique savante. Cette musique instrumentale et ses dubs qu'il pouvait créer, bien qu'expérimentaux restaient tout de même rythmés contrairement à d'autres formes de musique expérimentale. Lee Perry a souvent été en avance sur ses contemporains et découvrit des univers musicaux, par le sample et d'autre audaces, qui ont eu du succès. Lee Perry joua un rôle initiateur, un rôle de père pour le reggae, le dub et la plupart des musiques dites « actuelles » qui en découlent. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.