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Voyage sous nos pieds / Vincent Amouroux, réal.
Vidéo
Produit par Zed , 2017
Deux étapes : les tout premiers mètres du sol et les milliers de mètres de profondeur explorés à ce jour par l'homme. Le sol qui nous supporte est un monde inexploré, il n'est pas inerte, une vie insoupçonnée s'y déploie. D'innombrables acteurs y travaillent, hors de notre portée, pour la surface ou les grandes profondeurs. Un voyage souterrain inédit, à la découverte des principales formes de vie qui oeuvrent dans le sous-sol, ses habitants et leurs activités cachées : une faune autonome, animalière et microbienne, un immense maillage végétal, des minéraux comptables du temps qui passe. Tous actifs, ils ont créé entre eux des liens dont on découvre le fonctionnement, au défi de toutes les règles de la surface. Révélation inattendue : le décor minéral, supposé mort, est vivant ! Il est connecté avec le monde organique et participe au cycle vital des grandes profondeurs. On peut même imaginer qu'il a joué un rôle dans l'apparition de la vie.
- Type de document
- DVD
- Langues
- français
- Description physique
- 1 DVD (1 h 45 mn) : coul. (PAL); 12 cm
- Date de publication
- 2017
- Cote
- DE 577 AMO ; NF AMO
- Fonds
- Jeunesse ; Adulte
- Public
- Susceptible d'intéresser les adolescents
- Classification
- Documentaire jeunesse ; Non Fiction Adulte
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Musique audio - 2005 - Olympia 84 : Chemin de traverse, intégrale, vol. 13 / William Sheller, chant
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Biographie
Biographie

Élevé dans une ambiance musicale et théâtrale avec ses grand-parents maternels, William Sheller devient très tôt élève d'Yves Margat, lui-même ancien élève de Gabriel Fauré. À 16 ans, encouragé par ses parents, il quitte l'école pour aller étudier au conservatoire. Il commence par écrire des chansons pour Dalida et Barbara, des musiques de film comme Erotissimo et une messe de mariage pour des amis, Lux æterna, associant déjà orchestre symphonique, chœurs et groupe de rock. Sur les encouragements de son amie Barbara, qui lui dit « tu devrais chanter », il enregistre son premier album en tant qu'auteur-compositeur-interprète, Rock 'n' Dollars. Après son quatrième album, il fait ses débuts sur scène en 1981, à Bobino. Un an plus tard, il foule pour la première fois les planches de l'Olympia, ce qui donnera lieu à son premier album live. Dans le courant des années quatre-vingt, Sheller s'éloigne progressivement du show-business et sa carrière prend un tour résolument personnel. En 1984, il donne une série de concerts avec le quatuor Halvenalf. À partir de 1987, ses albums tirent profit, peu à peu, de son indépendance chèrement gagnée. Ainsi trouve-t-on dans Univers un étonnant fragment d'opéra, L'Empire de Toholl, mais aussi Le Nouveau monde, chanson qui débute par une ouverture à la française dans le style de Lully, et où batterie et guitare électrique viennent rejoindre l'orchestre symphonique. En 1989, l'album Ailleurs est entièrement écrit pour orchestre symphonique et comprend plusieurs pages instrumentales. On y trouve quelques titres-phares comme Excalibur ou La Tête brûlée. En mai 1990, Sheller donne une série de concerts au palais des congrès avec un orchestre symphonique de 70 musiciens, placé sous la direction de Louis Langrée. À cette occasion est créé son concerto pour violoncelle et orchestre, sous l'archet de Jean-Philippe Audin, déjà violoncelliste solo sur Ailleurs. Suit une tournée avec un orchestre plus réduit. En 1991, l'album Sheller en solitaire, enregistré en mars au piano et en public, propose une version intimiste de tous les grands classiques de la période 1975-1983, ainsi qu'une nouveauté, Un homme heureux, qui s'impose immédiatement comme la chanson emblématique de Sheller. En février 1992, Sheller en solitaire est consacré par deux victoires de la musique : celle du meilleur album, et celle de la meilleure chanson pour Un homme heureux. En 1994, pour rompre avec son image de chanteur pour midinettes que Sheller en solitaire a imposée, il se rend en Angleterre pour enregistrer Albion, un album rock décapant qui a réjoui la critique mais n'a pas rencontré les faveurs du public. On y trouve pourtant de nombreux trésors, dont une nouvelle version de Excalibur. La tournée qui suit, où la section rock est enrichie d'un petit orchestre symphonique, ne reprendra que très peu de ces nouveaux titres, comme en témoigne le live Olympiade. En 2000, avec Les Machines absurdes, Sheller propose un album-patchwork de chansons tantôt symphoniques, tantôt au piano, tantôt électro. Il donne une série de concerts avec un orchestre proche de celui de 1994, sous la direction du premier violon Nicolas Stevens. Le 11 novembre, au théâtre des Champs-Élysées, a lieu le plus long concert de sa carrière : près de quatre heures de chansons. Son fils Siegfried et son père Jack Hand viennent le rejoindre sur scène au moment des rappels. En avril 2003, un nouvel enregistrement de ses quatuors à cordes est publié en CD. En 2004, William Sheller est invité par le festival de musique de Sully-sur-Loire, qui lui commande une symphonie. Celle-ci est donc créée à Sully le 5 juin, par l'orchestre Ostinato placé sous la direction de Jean-Luc Tingaud. Sorti fin 2004, l'album Épures marque un retour au piano solo pour un disque court, ramassé, peut-être le meilleur depuis Ailleurs. Suit une tournée avec l'orchestre de 2000, qui donne lieu à un DVD, Parade au cirque royal. Puis il donne de nouveau quelques concerts, accompagné cette fois par le quatuor Stevens. En octobre 2006 paraît Ostinato, un CD entièrement dédié à sa musique symphonique. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.