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Pagan day / Psychic TV, ens. voc. & instr.
Musique audio
Edité par Sacred Bones Records/Dais Records , 1984
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- Type de document
- Disque compact
- Langues
- anglais
- Description physique
- 1 disque compact; 12 cm. 1 encart
- Date de publication
- 1984
- Collection
- Post-punk, no wave, indus & noise
- Série
- Post-punk, no wave, indus & noise
- Auteurs
- Psychic TV. Interprète
- Cote
- 2 PSY 70
- Fonds
- Adulte
- Classification
- Rock, rap, variété internationale
- Genre musical
- Post-punk Rock industriel
1 exemplaire disponible
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Musique audio - 1984 - Pagan day / Psychic TV, ens. voc. & instr.
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Biographie

- Corrido de Pancho Villa, - Camilo Torres, - A Luis Emilio Recabarren, et, pour Che Guevara : - Zamba del Che ou - El Aparecido de Neruda et Ortega, - El Arado, - Qué alegres son las obreras ; l'enfance : - Luchín ; et l'amour : - Te recuerdo Amanda, - Abre la ventana, - Deja la Vida volar, - El amor es un camino que de repente aparece, - Romance del enamorado y de la muerte… Arrêté par les militaires lors du coup d'État du 11 septembre 1973, il est emprisonné et torturé à l'Estadio Chile (aujourd'hui nommé stade Víctor Jara en mémoire de son martyre) puis à l'Estadio Nacional avec de nombreuses autres victimes de la répression qui s'abat alors sur Santiago. Il y écrit furtivement son ultime poème Estadio Chile [aussi connu comme la chanson-titre {{Traduction|langue=es|¡Canto qué mal me sales!… |Mon chant, comme tu me viens mal !… }}, ou par son premier vers {{Traduction|langue=es|Somos cinco mil |Nous sommes cinq mille… }}], poème qui dénonce le fascisme et la dictature et qui sera caché, pour le sauver, puis passera de main en main jusqu'à nous. Ce poème est resté inachevé car Víctor Jara est rapidement mis à l'écart des autres prisonniers. Il est torturé et roué de coups. Puis il est exécuté entre le 14 et le 16 septembre après avoir eu les doigts coupés par une hache pour faire taire définitivement son chant et sa musique, selon la chanson que Julos Beaucarne a écrite en hommage au {{langue|es|cantautor}} et guitariste chilien. Selon d'autres témoignages, notamment celui de sa veuve Joan Jara à qui l'on a demandé de reconnaître son corps à la morgue plusieurs jours après sa mort, dans le livre-mémoire qu'elle a écrit sur son mari {{Traduction|langue=es| Víctor Jara, un canto truncado|Victor Jara, un chant inachevé}}, il aurait eu plutôt les mains broyées à coups de crosse ou de botte, puisqu'elle l'a retrouvé : {{Citation bloc|criblé de balles, les mains non pas tranchées mais broyées [faisant un angle impossible avec le reste de ses bras]|Joan Jara|Victor Jara, un chant inachevé|référence=Citation traduite du musicien, auteur-compositeur et chanteur folk Pete Seeger en exergue sur la couverture : {{Traduction|langue=es|Mientras cantemos sus canciones, mientras su valor pueda inspirarnos más valor, Víctor Jara no morirá}}.}}