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Better call Saul. Saison 3 / Vince Gilligan, John Shiban, Thomas Schnauz, réal.
Vidéo
Produit par Sony Pictures Home Entertainment , 2017
Six ans avant la rencontre avec Walter White (cf. "Breaking Bad"), Saul Goodman, connu sous le nom de Jimmy McGill, est un petit escroc qui peine à joindre les deux bouts. Il fait la connaissance de Mike Ehrmantraut, un criminel spécialisé dans le nettoyage, qui deviendra son futur homme de main. Ensemble, ils ouvrent un cabinet d'avocats à Albuquerque, au Nouveau-Mexique.
- Type de document
- DVD
- Langues
- anglais ; français ; castillan, espagnol
- Sous-titres
- anglais ; français ; arabe ; castillan, espagnol ; flamand, néerlandais
- Description physique
- 3 DVD (3 h) : coul. (PAL); 12 cm
- Date de publication
- 2017
- Auteurs
- Gilligan, Vince. Réalisateur. Antécédent bibliographique
Shiban, John. Réalisateur
Schnauz, Thomas. Réalisateur - Gould, Peter. Antécédent bibliographique
Porter, Dave. Compositeur
Odenkirk, Bob. Interprète
Banks, Jonathan. Interprète
Seahorn, Rhea. Interprète
Fabian, Patrick. Interprète
Mando, Michael. Interprète
McKean, Michael. Interprète
- Cote
- FTV BET BET
- Fonds
- Adulte
- Référence
- Saison 3
- Classification
- Production télévisée Fiction adulte
- Genre cinématographique
- série et film de télévision
- Cinéma international
- Cinéma américain
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Livre - 2021 - Les enfants d'Asperger : Le dossier noir des origines de l'autisme / Edith Sheffer
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Biographie

John Zorn est un saxophoniste et compositeur américain né le 2 septembre 1953 à New York. Il est l'auteur de nombreuses œuvres explorant une grande variété de genres parmi lesquels le jazz, le rock, le punk hardcore, le classique, le klezmer, la musique de films et de cartoon et la musique improvisée. Bien que chacune de ses œuvres puisse se rapporter à l'un ou l'autre de ces genres, John Zorn se considère comme faisant partie de « l'avant-garde » qui remet en question et repousse les frontières de l'art pour créer un univers qui lui est propre. L'énorme densité de l'œuvre de John Zorn, influente et variée, défie toute classification académique. Originaire de New York, il est une figure majeure de la scène Downtown depuis 1975, incorporant un éventail de musiciens dans divers formats compositionnels. Il a appris la synthèse alchimique avec Harry Smith, l'ontologie structurelle avec Richard Foreman, comment faire de l'art à partir de rien avec Jack Smith, l'expression cathartique chez Sluggs et l'intuition hermétique avec Joseph Cornell. Très tôt, ses inspirations lui viennent d'innovateurs américains tels que Ives, John Cage, Carter et Partch, des européens Alban Berg, Igor Stravinski, Pierre Boulez, Mauricio Kagel, Varèse et des compositeurs de films Bernard Herrmann, Ennio Morricone et Stalling, ainsi que du théâtre, des films, de la littérature et de l'art d'avant-garde. Ses collaborations sont nombreuses : Jennifer Charles (d’Elysian Fields), Bill Frisell, Ikue Mori, Yuji Takahashi, Bill Laswell, Derek Bailey, Haino Keiji, Yamatsuka Eye, Fred Frith, William Winant, Marc Ribot, Mick Harris, Yoshida Tatsuya, Mike Patton, Eugene Chadbourne, Trevor Dunn, Greg Cohen, Joey Baron, Tim Sparks, Anthony Coleman... Il a aussi formé plusieurs groupes dont les plus connus sont Naked City, Painkiller, Masada et Cobra. Sa musique est jouée à travers le monde et de nombreuses formations telles que le Kronos Quartet, l'American Composers Orchestra et l'Orchestre de la WDR de Cologne lui ont commandé des œuvres. Il est aussi le propriétaire du label d'avant-garde Tzadik et d'un club à New-York : the Stone. En 2006, John Zorn est récipiendaire du MacArthur Fellows Program. http://www.tzadik.com http://www.myspace.com/tzadikrecords http://www.thestonenyc.com Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.