Le pont du Nord / Jacques Rivette, réal.

Vidéo

Jacques Rivette, réal. ; Jacques Rivette, Bulle Ogier, Pascale Ogier, Suzanne Schiffman, scénario ; Bulle Ogier, Pascale Ogier, Pierre Clémenti, Jean-François Stévenin, ... [et al.], act.

Produit par Potemkine films , 2018

Marie sort de prison et ne supporte plus de vivre entre quatre murs. Baptiste arrive, d'ailleurs, et entend bien rester en marge de tout circuit établi. Par trois fois en quelques heures, leurs trajets se croisent. Ceci est pour Baptiste un signe du destin : elle se croit tenue maintenant d'accompagner Marie, de la protéger. Mais les périls qui guettent celle-ci ne sont pas de ceux que la vigilance de Baptiste peut déjouer.

Interview de Bulle Ogier, actrice, et Caroline Champetier assistante du chef opérateur (24') ;interview de Martine Marignac, productrice (26') ; interview de Georges Prat, ingénieur du son (14') ; interview de Catherine Quesemand, assistante monteuse (16') ; interview de Pierre Wallon, régisseur (17') ; entretien avec Jean Narboni, critique, et Bamchade Pourvali critique et universitaire (27')..

Type de document
DVD
Langues
français
Description physique
2 DVD (2 h 04 mn) : coul. (PAL); 12 cm
Date de publication
2018
Auteurs
Rivette, Jacques (1928-2016). Réalisateur. Scénariste
Ogier, Bulle. Scénariste. Interprète
Ogier, Pascale (1958-1984). Scénariste. Interprète
Schiffman, Suzanne. Scénariste
Clémenti, Pierre. Interprète
Stévenin, Jean-François. Interprète
Cote
F RIV PON
Fonds
Adulte
Classification
Fiction adulte
Cinéma international
Cinéma français
1 exemplaire disponible

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Biographie

Jacques Rivette LL-Q150_(fra)-Frenchbluesman-Jacques_Rivette.wav, né le 1 mars 1928 à Rouen et mort le 29 janvier 2016 à {{arrondissement|6|Paris}}, était un cinéaste et critique de cinéma français, 7 courts métrages et 22 longs métrages parmi lesquels Suzanne Simonin, la Religieuse de Diderot (1967), L'amour fou (1969), Céline et Julie vont en bateau (1974), La bande des quatre (1988), La belle Noiseuse (1991) et Va savoir (2001). Son œuvre est marquée par la place qu'y occupent le théâtre et le thème du complot, l'emploi du plan-séquence et du son direct, des narrations parfois erratiques, et des durées très longues (près de 13 heures pour Out 1 : Noli me tangere, plus de 4 heures pour L’amour fou et La belle Noiseuse). Frappé par l’expérience de cinéaste de Jean Cocteau telle que ce dernier la relate dans La Belle et la Bête, journal d’un film, Rivette tourne son premier court métrage à vingt ans. Il se rend à Paris, fréquente la Cinémathèque française de Henri Langlois et les ciné-clubs, se lie avec François Truffaut, Jean-Luc Godard, Éric Rohmer, Claude Chabrol, entre autres futurs cinéastes de la Nouvelle Vague. En 1953, André Bazin l'invite à écrire dans les Cahiers du cinéma. Bien qu'il soit le premier cinéaste de la Nouvelle Vague à se lancer dans la réalisation d’un long métrage, Paris nous appartient ne sort qu'en 1961, quand Chabrol, Truffaut et Godard ont déjà sorti leurs premiers films et popularisé le mouvement. Rivette devient rédacteur en chef des Cahiers du cinéma en 1963 et se heurte à la censure française avec son deuxième long métrage, Suzanne Simonin, la Religieuse de Diderot. Enthousiasmé par ses entretiens filmés en 1967 avec Jean Renoir et séduit par le théâtre d'improvisation, Rivette décide de collaborer avec ses acteurs pour inventer ses personnages et de tout faire pour que ses tournages soient le lieu des expériences et des surprises. Cette méthode donne naissance à L'amour fou tourné en 1968 puis au très long métrage Out 1 : Noli me tangere. Ses films suivants des années 1970, tels que Céline et Julie vont en bateau ou Duelle, sont résolument fantastiques. Dans les années 1980, il rencontre la productrice Martine Marignac qui produira dès lors tous ses films. Au début des années 90, La belle Noiseuse reçoit un chaleureux accueil international. Souffrant de la maladie d'Alzheimer, Rivette cesse de tourner après 36 vues du Pic-Saint-Loup (2009). Discret sur sa vie privée, Rivette a été brièvement marié à la photographe et scénariste Marilù Parolini dans les années 1960, puis épousa Véronique Manniez.