J'ai dû rêver trop fort / Michel Bussi

Livre

Michel Bussi ; lu par Camille Lamache et Yann Sundberg ; chanson Interprété par Gauvain Sers

Edité par Lizzie. Paris , 2019

Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente. Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu'il n'y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ? Qui s'évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ? Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu'on peut remonter le temps ?

Type de document
Livre audio
Langues
français
Description physique
2 disques compacts MP3 (13 h 21 min)
ISBN
979-10-366-0388-4
Date de publication
2019
Auteurs
Bussi, Michel (1965-....) - Docteur en géographie. Auteur
Lamache, Camille. Narrateur
Sundberg, Yann. Narrateur
Sers, Gauvain. Interprète
Cote
RP BUS
Fonds
Adulte
Classification
Romans policiers
Genre littéraire
policier
Note
  • Texte intégral.
1 exemplaire disponible

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Biographie

Knut (Fouet ou martinet, en russe. Prononcer Knout) C’est en 1994 que se forme la groupe Knut, dans l’heureuse cité artistique qu’est Genève. Rapidement, le quatuor enregistre plusieurs démos, mini cds et splits avec Tantrum, Botch et Ishma notamment, suivis d’albums qui lui permettront de se faire un nom, à renommée désormais internationale. Leftovers (1997) est le premier enregistrement sur lequel on pourra réellement identifier l’orientation musicale du groupe : très rentre-dedans, il propose un hardcore virulent et pose les bases d’une personnalité qui se révèlera être très forte dès le disque suivant, Bastardizer. Avec des riffs très itératifs et des compositions bien plus riches que précédemment, Knut marque ici son entrée dans le cercle des groupes inventifs dans le hardcore. La patte Knutienne s’affirme encore un peu plus avec les albums suivants, Challenger (2002) et Terraformer (2005), tombant de plus en plus dans des sonorités sludges et lourdes, soulignant l’impact des titres du groupe. Jolis coups cet automne pour Conspiracy Records. Lorsque j’ai reçu le colis du label Belge, j’étais loin de me douter à quel point celui-ci renfermait deux des meilleures sorties de cette année. Entre le magnifique Malval de Shora, que personne n’attendait et ce nouvel effort de Knut, nouveau venu sur le label, impossible de ne pas penser du bien de la maison et de ne pas se dire qu’elle est à suivre bien attentivement. Avec une discographie jusque là exemplaire du groupe, ce Terraformer avait donc toutes les chances de ne pas décevoir avant même sa sortie. Dix années déjà après la formation du combo, celui-ci arrive à point nommé (ndlr : une compilation de remixes dédiée à cet événement devrait voir le jour d’ici peu) et pourrait bien amorcer un tournant stylistique pour le combo genevois. Car oui, faut-il le rappeler : Knut est suisse, le pays où la musique est meilleure, et cela rajoute encore une raison de ne pas être déçu par sa musique. Terraformer (toujours cette manie des noms en –er) s’ouvre sur de simplistes arpèges grésillant. Que cela laisse-t-il augurer ? Knut aurait-il mis un peu d’eau dans son vin ? Laissez moi donc argumenter afin de répondre à cette interrogation. Après cette discrète introduction, Wyriwys ouvre le bal, laissant découvrir le nouveau son Knut. Plus gras dans ses riffs, encore plus sludge qu’il ne l’était, toujours souligné par le jeu du batteur tout en simplicité et en originalité, ce son prend d’entrée toute son ampleur sur un titre au tempo presque lent parcouru de braillements déchirés, et qui donnera satisfaction à tous les amateurs de musique charnue et doomesque. On pense alors à Electric Wizard et autres originaux de musiques corpulentes, mais c’est là que Knut brouille les pistes. Kyoto nous fait retrouver nos bases Knutiennes avec ses rythmiques toutes en saccades et ses riffs fous, sur lesquels on se demande comment l’on pourra bien headbanguer le jour où le groupe passera dans le coin, mais qui sont toujours aussi bien arrangés, montrant une nouvelle fois toute la maîtrise technique des membres du groupe. Pourtant, sur ces titres aux référentiels connus, les suisses brouillent une nouvelle fois les pistes, incluant de longues progressions ramenant à ce côté si gras qui leur va finalement si bien. Tout au long de Terraformer, ces ambiances se déroulent et embaument l’esprit avec des titres aussi différents que cohérents entre eux. Faisant tantôt penser à Pelican période Australasia (Solar Flare), ou à leurs compatriotes de Kruger (Fallujah) et allant même jusqu’à taper impudemment dans le drone ambiant sur Fibonnaci Unfolds, le titre final, ou dans un postcore acoustique (Davos), Knut s’en donne à cœur joie. Au final, si nous remontons à notre primitive et existentielle question, à laquelle je m’étais promis de répondre, je vous répondrais politiquement « oui et non ». Oui parce que Knut s’est tellement fait plaisir sur ce Terraformer, abandonnant cet aspect assez linéaire (au sens non péjoratif du terme) des précédents opus, et expérimentant ça et là de manière très habile. Non parce que le côté écrasant est toujours là, presque renforcé par les titres plus lents, et que les compositions les plus hardcore, qui ont fait la force des genevois sont toujours là, desservies par un son plus sludge que jamais. En résumé donc (allons-y grossièrement), Terraformer renferme ce que l’on aime de Knut, souligné par de nouveaux éléments qui nous en mettent plein la vue et nous font découvrir une nouvelle facette du groupe. Que demande le peuple ? Knut affirme ici, s’il était nécessaire de le faire, que sa personnalité artistique est plus que jamais forte et unique. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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