Don't let the sunlight fool ya / Slackers (The), ens. voc. & instr.

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Slackers (The), ens. voc. & instr.

Edité par Pirates Production. Nantes , 2022

Type de document
Disque compact
Langues
anglais
Description physique
1 disque(s) compact(s); 12 cm. 1 livret textes
Date de publication
2022
Auteurs
Slackers (The). Interprète
Cote
2 SLA 35
Fonds
Adulte
Classification
Rock, rap, variété internationale
Genre musical
Ska Pop
Note
  • Textes des chansons
1 exemplaire disponible

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1 -- Windowland
2 -- Don't let the sunlight fool ya
3 -- Hanging on
4 -- I almost lost you
5 -- They are losing

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Biographie

Son œuvre instrumentale la plus connue, Lachrimæ ou Seaven Teares Figured in Seaven Passionate Pavans ... (Pleurs, ou Sept larmes représentées par sept pavanes passionnées ...) est un groupe de sept pavanes pour cinq violes (donc à 5 parties instrumentales) avec un luth soutenant cette polyphonie, publiée en 1604. Chacune d'entre elles étant fondée sur le "motif des larmes" Flow, my tears (« Coulez, mes larmes »), quatre notes descendantes qui proviennent d'une pièce de luth que Dowland avait originellement composée dès les années 1590. Cette pièce devint l'une des plus connues de la musique pour ensemble instrumental de cette époque. Sa pavane Lachrymæ antiquæ fut aussi l'un des grands succès du XVIIe. Les pièces chantées de Dowland traitent de différents thèmes. Musicalement, il s'agit principalement de chants strophiques, plus rarement de pièces à composition continue (durchkomponiert en allemand), c'est-à-dire composées de bout en bout puisqu'on n'y trouve pas les formules simplement reproduites de strophe en strophe. L'accompagnement est en grande partie homophone, enrichi cependant par de nombreux ornements. Quelques airs, comme Flow, my tears ou Oh, sweet woods (« Ô, doux bois ») contiennent aussi des passages polyphoniques à composition continue (durchkomponiert), mais la polyphonie reste dans les limites de ce qui peut être joué au luth. La manière de déclamer le texte le laisse distinct et compréhensible en permanence et les ornements sont utilisés comme éléments expressifs. Les œuvres instrumentales de Dowland ont une importance particulière. Ses compositions pour ensemble de violes de gambe avec accompagnement de luth marquent dans l'histoire de la musique européenne un premier point culminant dans le développement d'une musique instrumentale indépendante de la voix. La musique de Dowland exprime souvent la mélancolie, un sentiment très présent dans la musique, les arts et les préoccupations de l'époque élizabéthaine, en faisant un véritable courant artistique et littéraire. En témoignent les publications du médecin Timothy Bright en 1586 (Traité de la mélancolie), et de Robert Burton en 1621 (L'Anatomie de la mélancolie). Dowland écrivit d'ailleurs une pièce pour consort dont le titre pourrait selon certains résumer son œuvre. Elle est intitulée, en latin : Semper Dowland, semper dolens (Toujours Dowland, toujours souffrant). Cette humeur mélancolique est mise en relief par une harmonisation riche en couleurs et en dissonances. Ce serait cependant oublier d'autres pièces plus humoristiques, comme My Lord Chamberlain, His Galliard une invention pour deux luthistes jouant sur un seul luth. Elle utilise le rythme de la danse appelée gaillarde.

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Biographie

John Dowland était un compositeur et luthiste né en Angleterre ou en Irlande en 1563 et mort le 20 février 1626. Très peu d'éléments sur la première partie de sa vie sont disponibles, mais il serait né à Londres ou éventuellement à Dublin. Séjournant à Paris au service de l'ambassadeur auprès de la cour française, il se convertit au catholicisme romain. Selon ses dires, cela contribua à l'écarter d'un poste à la cour protestante d'Élisabeth Ire d'Angleterre, et l'amena à travailler à la cour de Christian IV de Danemark. Retournant en Angleterre en 1606 puis en 1612, il assura un des postes de luthiste auprès de Jacques Ier d'Angleterre et curieusement, il n'y a plus aucune composition depuis cette date jusqu'à sa mort à Londres en 1626. La plus grande partie de sa musique est destinée à son instrument, le luth. Son œuvre comprend donc plusieurs pièces pour luth seul, des lute songs (chansons pour une voix et luth), des chants à plusieurs parties vocales et luth, et plusieurs œuvres pour consort (ensemble instrumental) de violes et luth. Une de ses pièces les plus connues est le lute song Flow My Tears. Il écrivit par la suite son œuvre instrumentale la plus connue, Lachrimae or Seaven Teares Figured in Seaven Passionate Pavans (Pleurs ou Sept larmes représentées par sept pavanes passionnées), un groupe de sept pavanes pour cinq violes et luth, chacune étant basée sur Flow My Tears. Cette pièce devint l'une des plus connues de la musique pour ensemble instrumental de cette époque. Sa pavane Lachrymae antiquae fut aussi l'un des grands succès du dix-septième siècle. La musique de Dowland exprime souvent la mélancolie, un sentiment très présent dans la musique de cette époque. Il écrivit d'ailleurs une pièce pour ensemble dont le titre pourrait selon certains résumer son œuvre, intitulée Semper Dowland, semper dolens (toujours Dowland, toujours souffrant). Ce serait cependant oublier d'autres pièces plus humoristiques, comme My Lord Chamberlain, His Galliard une invention pour deux luthistes jouant sur un seul luth. La musique de Dowland est un thème récurrent des livres de science-fiction de Philip K. Dick. Le chanteur Sting a repris les compositions de Dowland dans son album Songs from the Labyrinth (2006). Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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