C'est moi qui cuisine ! / Sylvie Da Silva

Livre

Sylvie Da Silva ; photographie et stylisme Sophie Dumont et Delphine Lebrun ; illustrations Johanna Fritz

Edité par Mango jeunesse. Paris , 2024

Enfile ton tablier, aujourd'hui, c'est toi qui cuisine ! Menus rapides, de fête ou pour faire voyager tes papilles... Epate tes parents avec ces 20 menus super gourmands, parfaits pour toutes les occasions ! Chaque menu te propose des recettes à réaliser toi-même grâce à des explications claires et détaillées. Etape par étape, les photos te guideront et t'aideront à bien comprendre chaque geste. Sylvie Da Silva te guide dans la réalisation de ces 54 recettes savoureuses et variées, pour apprendre à cuisiner comme un grand dès 8 ans !

Type de document
Livre
Langues
français
Description physique
162 p. : ill.; 32 x 24 cm
ISBN
978-2-317-03639-2
Date de publication
2024
Auteurs
Da Silva, Sylvie. Auteur
Dumont, Sophie (1984-....). Photographe
Lebrun, Delphine (19..). Photographe
Fritz, Johanna. Illustrateur
Cote
641.8 ; 641.5
Fonds
Jeunesse
Classification
Techniques
Note
  • Index.
2 exemplaires disponibles

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Biographie

Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois. Orphelin de mère très jeune, sa vie est marquée par l'errance. Si ses livres et lettres connaissent à partir de 1749 un fort succès, ils lui valent aussi des conflits avec l'Église catholique et la République de Genève qui l'obligent à changer souvent de résidence et alimentent son sentiment de persécution. Dans le domaine littéraire, Jean-Jacques Rousseau connaît un grand succès avec le roman épistolaire Julie ou la Nouvelle Héloïse (1761), un des plus gros tirages du XVIII. Cet ouvrage séduit ses lecteurs d'alors par sa peinture préromantique du sentiment amoureux et de la nature. Dans Les Confessions (rédigées entre 1765 et 1770, avec publication posthume en 1782 et 1789) et dans Les Rêveries du promeneur solitaire (écrites en 1776-1778, publiées en 1782), Rousseau se livre à une observation approfondie de ses sentiments intimes. L'élégance de l'écriture de Rousseau provoque une transformation significative de la poésie et de la prose françaises en les libérant des normes rigides venues du Grand Siècle. Dans le domaine philosophique, la lecture en 1749 de la question mise au concours par l'Académie de Dijon : le rétablissement des sciences et des arts a-t-il contribué à épurer ou à corrompre les mœurs ? provoque ce qu'on appelle l'illumination de Vincennes. De là naissent les ouvrages qui inscrivent durablement Rousseau dans le monde de la pensée : le Discours sur les sciences et les arts (1750), le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755) et Du contrat social (1762). La philosophie politique de Rousseau est bâtie autour de l'idée que l'Homme est naturellement bon et que la société le corrompt. Par « naturellement bon », Rousseau entend que l'être humain à l'état de nature a peu de désirs, de sorte qu'il est plus farouche que méchant. Ce sont les interactions avec les autres individus qui rendent les êtres humains méchants et conduisent à l'accroissement des inégalités. Pour retrouver une bonté naturelle, l'homme doit avoir recours à l'artifice du contrat social et être gouverné par des lois découlant de la volonté générale exprimée par le peuple. Pour Rousseau, contrairement à ce que pense par exemple Diderot, la volonté générale n'est pas universelle, elle est propre à un État, à un corps politique particulier. Rousseau est le premier à conférer la souveraineté au peuple. En cela, on peut dire que c'est un des penseurs de la démocratie (et notamment de la démocratie directe), même s'il est favorable à ce qu'il nomme l'aristocratie élective ou le gouvernement tempéré dans le domaine du pouvoir exécutif. Rousseau est critique par rapport à la pensée politique et philosophique développée par Hobbes et Locke. Pour lui, les systèmes politiques fondés sur l'interdépendance économique et sur l'intérêt conduisent à l'inégalité, à l'égoïsme et finalement à la société bourgeoise (un terme qu'il est un des premiers à employer). Toutefois, s'il est critique de la philosophie des Lumières, il s'agit d'une critique interne. En effet, il ne veut revenir ni à Aristote, ni à l'ancien républicanisme ou à la moralité chrétienne. La philosophie politique de Rousseau exerce une influence considérable lors de la période révolutionnaire durant laquelle son livre le Contrat social est redécouvert. À plus long terme, Rousseau marque le mouvement républicain français ainsi que la philosophie allemande. Par exemple, l'impératif catégorique de Kant est imprégné par l'idée rousseauiste de volonté générale. Durant une partie du XX, une controverse opposera ceux qui estiment que Rousseau est en quelque sorte le père des totalitarismes et ceux qui l'en exonèrent. Selon Claude Lévi-Strauss, Rousseau est le premier véritable fondateur de l'anthropologie, notamment car ce dernier aurait par son universalisme posé « en termes presque modernes » le problème du passage de la nature à la culture. L'historien Léon Poliakov ajoute que Rousseau invitait ses contemporains à faire des voyages dans les pays lointains, afin d'y « étudier, non toujours des pierres et des plantes, mais une fois les hommes et les mœurs ». Dans les derniers ouvrages de sa vie (Rousseau juge de Jean-Jacques, Les Rêveries du promeneur solitaire), Rousseau décrit les persécutions secrètes qu'il prétend avoir subies pendant plusieurs décennies. Certains commentateurs ont parlé de paranoïa. D’autres, à l'instar de Musset-Pathay ou de G. H. Morin, ont défendu l'hypothèse d’un complot généralisé, fomenté par le pouvoir en place,. Son corps est transféré au Panthéon de Paris le 11 octobre 1794 (20 vendémiaire an III).