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Termineur, la terreur des légumes ! / Paul Martin,
Livre
Edité par Bayard jeunesse. Montrouge , 2020
Eugène est un petit garçon qui n'aime pas les légumes. Malheureusement, ses parents sont bien décidés à lui faire manger de tout. Alors qu'il commence à désespérer, un crapaud en imperméable qui se fait appeler le Termineur lui propose son aide. Il peut finir les assiettes d'Eugène en toute discrétion ! Mais très vite leur marché se complique, et la situation dégénère.
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- Type de document
- Livre
- Langues
- français
- Traduit de
- français
- Description physique
- 42 p. : ill.; 19 x 13 cm
- ISBN
- 979-10-363-1247-2
- Date de publication
- 2020
- Collection
- J'aime lire
- Série
- J'aime lire
- Cote
- R MAR ** ; R MAR
- Fonds
- Jeunesse
- Classification
- Romans
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Livre - 2022 - Le premier qui meurt à la fin / Adam Silvera
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Biographie
Yoko Kanno, auteur-compositrice de bandes originales d'anime. Yoko Kanno est née le 19 mars 1964, dans la préfecture de Miyagi sur l’île d’ Honshu, au nord du Japon. Enfant, la dame montre manifeste un grand intérêt pour la musique. Elle apprend en autodidacte le piano dès l’âge de 4 ans, participe et remporte de nombreux concours dès l’âge de 10 ans. Ensuite, celle-ci fait ses études à l’université Waseda l’on enseigne la littérature japonaise. Entre temps, Yoko Kanno étudie aussi à l’étranger, au Conservatoire national supérieur de Musique et de Danse de Paris. En 1987, elle rejoint le groupe J-Pop Tetsu 100%, où celle-ci occupe le poste de claviste et de compositrice jusqu’à la dissolution de groupe en 1989. Par la suite Yoko Kanno travaille pour des compositions de jingles de publicités, ainsi que pour les background music de jeux vidéo sortis sous le label de la Koei. L’artiste ne fait vraiment connaître dans le milieu de l’anime qu’avec son travail sur la bande originale de l'anime « Vision d'Escaflowne ». Parallèlement, ces compositions sur les publicités, les feuilletons et les productions font partie intégrante de 50% de son travail en temps normal, l’autre moitié étant prise par les compositions pour anime. Pour cette bande son, Yoko Kanno se démarque déjà des autres compositeurs de l’époque avec une influence très prononcée de la musique classique occidentale dans son oeuvre. La compositrice se révèle très inspirée de grands du milieu comme Maurice Ravel ou Claude Debussy. Son travail sur Escaflowne donne déjà un petit aperçu sur le talent de la grande dame. A savoir que pour la composition en matière d’anime, le compositeur ne reçoit au début qu’une partie des informations avec lesquelles il doit travailler, en sachant que la réalisation de la bande-son se fait toujours avant la production propre dite de l’anime et cela avec un peu près 6 mois à un an d’intervalle. Rares sont aussi les compositeurs qui lisent de fond en comble une description de personnage avant de s’attaquer à l’œuvre en elle-même. Le génie de Kanno réside donc bien là : la compositrice prend son temps dans la réflexion afin de porter à maturation son projet mais à la place de travailler et re-travailler les embryons de son oeuvre, celle-ci sort le grand jeu d’un seul coup et le nouveau premier jet est le final. Ce nouveau premier jet devient le premier thème à partir duquel découlera tout le reste. Yoko Kanno a su non pas créer un univers de sons correspondants à l’image, mais elle crée un univers musical à part entière auquel les producteurs d’anime piochent des thèmes afin de correspondre à l’image. Le résultat final est assez époustouflant. Le son colle à l’image comme s’il feignait être prédestiné à aller avec une scène bien définie, ce qui n’est absolument pas le cas. Yoko Kanno par soucis d’harmonie compose beaucoup de thème, et dans ce large panel, la compositrice est des fois elle-même surprise de l’emplacement que prennent ces travaux dans certains passages. Sur Escaflowne, Dame Kanno compose une musique à la fois très symphonique et pourtant très féerique. Elle mêle subtilement des morceaux à tambours battants comme « Dance of Curse », des thèmes ressemblant à ceux que l’on jouerait dans une valse imaginaire, empreint de grâce, de légèreté et d’une atmosphère captivante comme l’inoubliable « Memory of Fanelia » et toutes ses déclinaisons, des thèmes plus doux et naïfs pour les passages romantiques et des titres d’une langue inconnue de nous mortels, au charme certain comme « Sora ». Avec Escaflowne, la compositrice montre qu’on peut allégrement intégré des titres à sonorités très symphoniques à un univers pourtant versé dans la fantasy. Elle révèle aussi de nombreux artistes comme Sakamoto Maaya qui à l’époque était la doubleuse d’Hitomi mais aussi l’interprète de dernière minute du thème d’introduction « Yakusoku wa Iranai », où la jeune chanteuse montre une performance vocale naturelle et directe qui fait le charme de la vocaliste de talent qu’elle est devenue aujourd’hui. Yoko Kanno apprécie surtout l’originalité, depuis fort longtemps déjà elle se plait à l’enregistrement de ses compositions à l’étranger. L’artiste a d’or et déjà enregistré en Israël pour son travail sur Macross Plus et pour Vision d’Escaflowne, ce fut fait à Varsovie. Elle a aussi déjà dans le petit cercle de son entourage plusieurs artistes de talent avec les lesquels celle-ci a l’habitude de travailler comme Arai Akino, Hajime Mizoguchi son époux, ou le guitariste attitré Tsuneo Imahori (compositeur des OST de Trigun et de Gungrave) L’œuvre la plus aboutie de Yoko Kanno et d’après elle-même reste son incroyable travail sur la série de Shinichiro Wanatabe, Cowboy Bebop que l’on ne présente plus. Pour cette série hors pair à plusieurs niveaux, la dame n’est pas en reste niveau imagination et n’y est donc pas allé de main morte. L’enregistrement se fait cette fois-ci à New York avec la participation de l’expert en jazz Rudi Van Gelder. Ici plus question de musique symphonique en grande pompe, Yoko Kanno sort une bande originale avec un trend très tendance : une nouvelle vague arrive. La compositrice survole ici tous les styles musicaux possibles et inimaginables. En part d’un point de départ, qui résolument (comme le titre l’indique du bebop) Dame Kanno y colle une ambiance complètement déjantée et éclectique faite de sons jazzy, de groove le tout avec un soupçon très funky (l’artiste révèle que ceci était plutôt une question de goût, elle-même n’étant pas une amatrice de jazz). Chaque titre fait vibrer à ça manière, en passant par des thèmes incontournables comme « Tank ! » ou « the Real Folk Blue » et morceaux plus turbulents aux titres amusants comme « Mushroom Hunting » ou « Bad Dog No Biscuit » ainsi que des ballades somptueuses telles que « Blue ». Dans la réalisation du background music de Cowboy Bebop Yoko Kanno montre le début de collaborations plus fructueuses que jamais inscrivant dans son cercle personnel des voix comme Yamane Mai, Steve Conte ou encore Scott Matthew. Le temps de Cowboy Bebop, Yoko Kanno expérimente un projet unique : la création d’un groupe les SEATBELTS. C’est sous cette formation collective que la musique de Cowboy Bebop est jouée. Les SEATBELTS ont montré plusieurs performance live impressionnants, démontrant tout le cœur et l’énergie que l’équipe avait fourni à cette oeuvre musicale qui restera dans les anales de l’histoire des bandes sons d’anime. Par après, Yoko Kanno travaille sur la bande originale de Ghost in the Shell - Stand Alone Complexe. L’ancien compositeur ayant travaillé sur le « projet Ghost in the Shell » n’est que Kenji Kawai. Pourtant le travail fourni par Kanno diffère assez de son homologue prédécesseur. Pas de chœur mystique, pas de musiques à sonorité orientale ou à l’ambiance onirique, Yoko Kanno interprète l’univers cyber-punk et géo-politique de Ghost in the Shell à sa manière. Une harmonie faite d’un mélange intrigant et captivant, la compositrice sort une œuvre à la croisée des mondes et des langues. La voix d’Origa fait du thème d’ouverture de Ghost in the Shell - Stand Alone Complex est une pièce unique : une performance vocale enivrante, l’alchimie entre le russe, l’anglais et des brides de Latin, voilà une combinaison pour le moins surprenante qui fait tout le charme et l’originalité du titre, donnant un second écho à l’univers à la fois si riche et complexe de Ghost in the Shell. Wolf’s Rain fait aussi partie du répertoire de Yoko Kanno. L’anime comme sa bande-son est intemporelle. Ici, certaines plages ont été jouées par l’orchestre philharmonique de Varsovie, d’autre titres sont interprétés en français comme « Valse de la lune » par Iliara Graziano, d’autres en portugais tel que Coraçao Selvagem, des thèmes prenant par aux chants mystiques indiens, ainsi qu’un très beau générique de fin « gravity » avec Sakamoto Maaya au chant, illustrant la profondeur de la course d’un loup sur des landes désertes enneigées... Les pistes symphoniques font souvenirs à des ballets russes à la mélodie légère mais tout à fait significative. Sinon, les deux albums de Wolf’s Rain sont le reflet des tendances actuelles de Yoko Kanno : une envie d’évasion vers des contrées toujours plus lointaines, où la frontière des musiques et des langues n’existe simplement pas. En somme toute, s’il y a un nom que l’on devrait retenir dans la composition musicale d’anime, c’est bien celui de Yoko Kanno. Elle a su insuffler une vie à par entière à chacune de ces œuvres musicales, tant que lorsqu’on fait référence à un anime, il est quasi impossible de ne pas faire référence à sa bande son. Loin de cantonner son travail à un seul style ou à un seul répertoire particulier, Yoko Kanno s’essaye à tout, composant des mélanges toujours plus surprenants, montrant toujours la possibilité de nouvelles combinaisons, de la naissance de nouveaux genres. Yoko Kanno a entre les mains le secret d’une véritable alchimie musicale. Note : le mystère de Gabriela Robin Dans le panel impressionnant d’artistes ayant collaborés avec Dame Kanno, on trouve cette personne pour le moins énigmatique : Gabriela Robin. Celle-ci serait une vocaliste des paroles dans un langage inventé, sur nombre d’œuvres de Yoko Kanno. Pourtant les informations sur cette vocaliste n’existent pas, elle n’a, non plus, jamais fait d’apparition publique. Puis son nom n’est relié qu’aux œuvres de Hajime Mizoguchi et de Yoko Kanno où certaines compositions de paroles sont créditées sous le nom de Robin. La théorie voudrait que ce soit Yoko Kanno elle-même qui chanterait sous ce pseudonyme. La compositrice refuse continuellement à ce jour de parler de cette mystérieuse vocaliste : secret de compagnie, Dieu seul connaîtrait cette personne, et le mystère reste bien entier. Discographie sélective (travaux sur anime seulement) Brain Powered Cardcaptor Sakura (TV opening theme) Cowboy Bebop Cowboy Bebop: Knockin' on Heaven's Door Dai-Guard (Ending theme; "Rocking Horse Stars") Earth Girl Arjuna Escaflowne: The Movie (en collaboration avec Hajime Mizoguchi) Ghost in the Shell: Stand Alone Complex Ghost in the Shell: Stand Alone Complex 2nd GIG Ghost in the Shell: Tachikoma Days Jin-Roh (Piano - en collaboration avec Hajime Mizoguchi) Macross 7 Macross 7 Encore Macross Dynamite 7 Macross Plus Memories: Magnetic Rose Mind Game Noiseman Sound Insect Please Save My Earth (en collaboration avec Hajime Mizoguchi) RahXephon (opening theme TV) RahXephon: Pluralitas Concentino (ending theme) Record of Lodoss War: Chronicles of the Heroic Knight (opening theme) Sousei no Aquarion Turn-A Gundam Turn-A Gundam: Earth Light Turn-A Gundam: Moonlight Butterfly The Vision of Escaflowne (en collaboration avec Hajime Mizoguchi) Wolf's Rain (TV & OVA) The Other Side of Midnight (featuring Maaya Sakamoto) Read more on Last.fm. 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